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Afrique

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La région Afrique de l'IPPF est à la recherche de personnes talentueuses pour soutenir son travail.

Dans le cadre de sa stratégie, le bureau régional africain de l'IPPF recrute pour plusieurs postes au Kenya et en Côte d'Ivoire.

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NIGER
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| 13 January 2022

Sommet des filles africaines 2021: l’IPPF réaffirme son engagement dans la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles.

La Directrice régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) Afrique a activement pris part au au Sommet des filles Africaines à Niamey, au Niger, du 16 au 18 Novembre 2021.  Organisé par la Commission de l’Union Africaine, le Sommet des filles africaines vise à accélérer la réalisation de leurs droits, notamment l’élimination des pratiques néfastes - dont la mutilation génitale féminine, le mariage précoce ou encore le bandages des seins - mais aussi leurs droits à l’éducation et à la santé sexuelle et reproductive. Il s’agit du troisième sommet sur ce thème, la première édition s’étant tenue à Lusaka en Zambie du 26 au 27 Novembre 2015 et le 2ème sommet à Accra au Ghana du 21 au 24 Novembre 2018. Durant la cérémonie d’ouverture, la représentante de l’Envoyée spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies sur les questions de violences contre les enfants, Mme Najat Maalla M’Jid, a partagé un message fort : « nous devons garder à l’esprit que les enfants et les jeunes d’Afrique représentent un capital, constituent la source la plus riche d’Afrique, avec une population qui ne cesse d'accroître et qui devrait atteindre 830 millions d’ici 2050». Dans son allocution, le Chef d’Etat du Niger, Mohamed Bazoum a, quant à lui, affirmé que la thématique du sommet confirme « l’engagement des pays africains à œuvrer solidairement pour le développement humain sur le continent en s’appuyant en particulier sur les femmes et les jeunes ». Selon lui, « Nous avons donc, à travers cette rencontre, l’occasion d’analyser, de suivre et de mieux orienter les actions de nos Etats en matière de protection des droits humains des filles qui constituent une frange importante de la population de nos pays ». L’IPPF a pour sa part marqué sa participation à travers l’intervention de la Directrice régionale pour l’Afrique, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry lors de deux panels, consacrés respectivement aux thèmes: "L’impact de la COVID-19 sur les femmes et les filles: une réponse intégrée" et "Les jeunes s'engagent auprès des États membres pour mettre fin aux pratiques néfastes". Lors de ces échanges, la directrice régionale a réaffirmé « l’engagement de l’IPPF à poursuivre la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles, de protéger leurs droits et de garantir la fourniture et l'accès aux services et aux informations nécessaires à la protection de leur santé et de leur bien-être ».  Elle a tenu a souligner l’impact dévastateur des pratiques néfastes sur la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles, ainsi que sur leur santé mentale et psychosociale: “Les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants sont tous deux liés à des taux élevés de mortalité maternelle et à un faible recours à la planification familiale amenant à des grossesses non désirées. Ils privent les femmes de la possibilité d'être éduquées, de devenir des êtres imaginatifs, novateurs et créatifs, de s'ouvrir à de nouvelles possibilités et de profiter, elles et leurs familles, de tous les avantages qu'apporte un emploi décent”.  Elle a également relevé le travail abattu par ses associations membres en matière d’innovation et de capacité de résilience face aux défis de la COVID-19 . « Elles ont, entre autres, développé simultanément la télémédecine, le porte-à-porte et leurs cliniques mobiles pour répondre aux besoins des femmes confinées en matière de SSR, numérisé l'éducation sexuelle pour les jeunes privés d’école, etc. »  Elle a enfin tenu à célébrer l’action des jeunes et à les remercier pour leurs actions en faveur des droits sexuels et reproductifs sur le continent: “Merci jeunes femmes et jeunes hommes, merci pour tout ce que vous faites aujourd’hui, et pour les nombreuses choses que vous allez encore accomplir. Je vous adresse ma grande admiration et je pense que je parle au nom de nombreuses personnes de mon âge lorsque je dis que nous vous admirons et que nous sommes prêts à recevoir votre enseignement”.  Il est du devoir de l’IPPF d’appuyer les jeunes, notamment les jeunes femmes et filles, et de leur apporter tout le soutien dont ils ont besoin pour concrétiser et mettre en action leurs engagements collectifs en faveur des droits sexuels et reproductifs. L’IPPF est et restera à leurs côtés. 

NIGER
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| 18 November 2021

Sommet des filles africaines 2021: l’IPPF réaffirme son engagement dans la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles.

La Directrice régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) Afrique a activement pris part au au Sommet des filles Africaines à Niamey, au Niger, du 16 au 18 Novembre 2021.  Organisé par la Commission de l’Union Africaine, le Sommet des filles africaines vise à accélérer la réalisation de leurs droits, notamment l’élimination des pratiques néfastes - dont la mutilation génitale féminine, le mariage précoce ou encore le bandages des seins - mais aussi leurs droits à l’éducation et à la santé sexuelle et reproductive. Il s’agit du troisième sommet sur ce thème, la première édition s’étant tenue à Lusaka en Zambie du 26 au 27 Novembre 2015 et le 2ème sommet à Accra au Ghana du 21 au 24 Novembre 2018. Durant la cérémonie d’ouverture, la représentante de l’Envoyée spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies sur les questions de violences contre les enfants, Mme Najat Maalla M’Jid, a partagé un message fort : « nous devons garder à l’esprit que les enfants et les jeunes d’Afrique représentent un capital, constituent la source la plus riche d’Afrique, avec une population qui ne cesse d'accroître et qui devrait atteindre 830 millions d’ici 2050». Dans son allocution, le Chef d’Etat du Niger, Mohamed Bazoum a, quant à lui, affirmé que la thématique du sommet confirme « l’engagement des pays africains à œuvrer solidairement pour le développement humain sur le continent en s’appuyant en particulier sur les femmes et les jeunes ». Selon lui, « Nous avons donc, à travers cette rencontre, l’occasion d’analyser, de suivre et de mieux orienter les actions de nos Etats en matière de protection des droits humains des filles qui constituent une frange importante de la population de nos pays ». L’IPPF a pour sa part marqué sa participation à travers l’intervention de la Directrice régionale pour l’Afrique, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry lors de deux panels, consacrés respectivement aux thèmes: "L’impact de la COVID-19 sur les femmes et les filles: une réponse intégrée" et "Les jeunes s'engagent auprès des États membres pour mettre fin aux pratiques néfastes". Lors de ces échanges, la directrice régionale a réaffirmé « l’engagement de l’IPPF à poursuivre la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles, de protéger leurs droits et de garantir la fourniture et l'accès aux services et aux informations nécessaires à la protection de leur santé et de leur bien-être ».  Elle a tenu a souligner l’impact dévastateur des pratiques néfastes sur la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles, ainsi que sur leur santé mentale et psychosociale: “Les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants sont tous deux liés à des taux élevés de mortalité maternelle et à un faible recours à la planification familiale amenant à des grossesses non désirées. Ils privent les femmes de la possibilité d'être éduquées, de devenir des êtres imaginatifs, novateurs et créatifs, de s'ouvrir à de nouvelles possibilités et de profiter, elles et leurs familles, de tous les avantages qu'apporte un emploi décent”.  Elle a également relevé le travail abattu par ses associations membres en matière d’innovation et de capacité de résilience face aux défis de la COVID-19 . « Elles ont, entre autres, développé simultanément la télémédecine, le porte-à-porte et leurs cliniques mobiles pour répondre aux besoins des femmes confinées en matière de SSR, numérisé l'éducation sexuelle pour les jeunes privés d’école, etc. »  Elle a enfin tenu à célébrer l’action des jeunes et à les remercier pour leurs actions en faveur des droits sexuels et reproductifs sur le continent: “Merci jeunes femmes et jeunes hommes, merci pour tout ce que vous faites aujourd’hui, et pour les nombreuses choses que vous allez encore accomplir. Je vous adresse ma grande admiration et je pense que je parle au nom de nombreuses personnes de mon âge lorsque je dis que nous vous admirons et que nous sommes prêts à recevoir votre enseignement”.  Il est du devoir de l’IPPF d’appuyer les jeunes, notamment les jeunes femmes et filles, et de leur apporter tout le soutien dont ils ont besoin pour concrétiser et mettre en action leurs engagements collectifs en faveur des droits sexuels et reproductifs. L’IPPF est et restera à leurs côtés. 

NIGER
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| 13 January 2022

Sommet des filles africaines 2021: l’IPPF réaffirme son engagement dans la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles.

La Directrice régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) Afrique a activement pris part au au Sommet des filles Africaines à Niamey, au Niger, du 16 au 18 Novembre 2021.  Organisé par la Commission de l’Union Africaine, le Sommet des filles africaines vise à accélérer la réalisation de leurs droits, notamment l’élimination des pratiques néfastes - dont la mutilation génitale féminine, le mariage précoce ou encore le bandages des seins - mais aussi leurs droits à l’éducation et à la santé sexuelle et reproductive. Il s’agit du troisième sommet sur ce thème, la première édition s’étant tenue à Lusaka en Zambie du 26 au 27 Novembre 2015 et le 2ème sommet à Accra au Ghana du 21 au 24 Novembre 2018. Durant la cérémonie d’ouverture, la représentante de l’Envoyée spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies sur les questions de violences contre les enfants, Mme Najat Maalla M’Jid, a partagé un message fort : « nous devons garder à l’esprit que les enfants et les jeunes d’Afrique représentent un capital, constituent la source la plus riche d’Afrique, avec une population qui ne cesse d'accroître et qui devrait atteindre 830 millions d’ici 2050». Dans son allocution, le Chef d’Etat du Niger, Mohamed Bazoum a, quant à lui, affirmé que la thématique du sommet confirme « l’engagement des pays africains à œuvrer solidairement pour le développement humain sur le continent en s’appuyant en particulier sur les femmes et les jeunes ». Selon lui, « Nous avons donc, à travers cette rencontre, l’occasion d’analyser, de suivre et de mieux orienter les actions de nos Etats en matière de protection des droits humains des filles qui constituent une frange importante de la population de nos pays ». L’IPPF a pour sa part marqué sa participation à travers l’intervention de la Directrice régionale pour l’Afrique, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry lors de deux panels, consacrés respectivement aux thèmes: "L’impact de la COVID-19 sur les femmes et les filles: une réponse intégrée" et "Les jeunes s'engagent auprès des États membres pour mettre fin aux pratiques néfastes". Lors de ces échanges, la directrice régionale a réaffirmé « l’engagement de l’IPPF à poursuivre la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles, de protéger leurs droits et de garantir la fourniture et l'accès aux services et aux informations nécessaires à la protection de leur santé et de leur bien-être ».  Elle a tenu a souligner l’impact dévastateur des pratiques néfastes sur la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles, ainsi que sur leur santé mentale et psychosociale: “Les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants sont tous deux liés à des taux élevés de mortalité maternelle et à un faible recours à la planification familiale amenant à des grossesses non désirées. Ils privent les femmes de la possibilité d'être éduquées, de devenir des êtres imaginatifs, novateurs et créatifs, de s'ouvrir à de nouvelles possibilités et de profiter, elles et leurs familles, de tous les avantages qu'apporte un emploi décent”.  Elle a également relevé le travail abattu par ses associations membres en matière d’innovation et de capacité de résilience face aux défis de la COVID-19 . « Elles ont, entre autres, développé simultanément la télémédecine, le porte-à-porte et leurs cliniques mobiles pour répondre aux besoins des femmes confinées en matière de SSR, numérisé l'éducation sexuelle pour les jeunes privés d’école, etc. »  Elle a enfin tenu à célébrer l’action des jeunes et à les remercier pour leurs actions en faveur des droits sexuels et reproductifs sur le continent: “Merci jeunes femmes et jeunes hommes, merci pour tout ce que vous faites aujourd’hui, et pour les nombreuses choses que vous allez encore accomplir. Je vous adresse ma grande admiration et je pense que je parle au nom de nombreuses personnes de mon âge lorsque je dis que nous vous admirons et que nous sommes prêts à recevoir votre enseignement”.  Il est du devoir de l’IPPF d’appuyer les jeunes, notamment les jeunes femmes et filles, et de leur apporter tout le soutien dont ils ont besoin pour concrétiser et mettre en action leurs engagements collectifs en faveur des droits sexuels et reproductifs. L’IPPF est et restera à leurs côtés. 

NIGER
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| 18 November 2021

Sommet des filles africaines 2021: l’IPPF réaffirme son engagement dans la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles.

La Directrice régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) Afrique a activement pris part au au Sommet des filles Africaines à Niamey, au Niger, du 16 au 18 Novembre 2021.  Organisé par la Commission de l’Union Africaine, le Sommet des filles africaines vise à accélérer la réalisation de leurs droits, notamment l’élimination des pratiques néfastes - dont la mutilation génitale féminine, le mariage précoce ou encore le bandages des seins - mais aussi leurs droits à l’éducation et à la santé sexuelle et reproductive. Il s’agit du troisième sommet sur ce thème, la première édition s’étant tenue à Lusaka en Zambie du 26 au 27 Novembre 2015 et le 2ème sommet à Accra au Ghana du 21 au 24 Novembre 2018. Durant la cérémonie d’ouverture, la représentante de l’Envoyée spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies sur les questions de violences contre les enfants, Mme Najat Maalla M’Jid, a partagé un message fort : « nous devons garder à l’esprit que les enfants et les jeunes d’Afrique représentent un capital, constituent la source la plus riche d’Afrique, avec une population qui ne cesse d'accroître et qui devrait atteindre 830 millions d’ici 2050». Dans son allocution, le Chef d’Etat du Niger, Mohamed Bazoum a, quant à lui, affirmé que la thématique du sommet confirme « l’engagement des pays africains à œuvrer solidairement pour le développement humain sur le continent en s’appuyant en particulier sur les femmes et les jeunes ». Selon lui, « Nous avons donc, à travers cette rencontre, l’occasion d’analyser, de suivre et de mieux orienter les actions de nos Etats en matière de protection des droits humains des filles qui constituent une frange importante de la population de nos pays ». L’IPPF a pour sa part marqué sa participation à travers l’intervention de la Directrice régionale pour l’Afrique, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry lors de deux panels, consacrés respectivement aux thèmes: "L’impact de la COVID-19 sur les femmes et les filles: une réponse intégrée" et "Les jeunes s'engagent auprès des États membres pour mettre fin aux pratiques néfastes". Lors de ces échanges, la directrice régionale a réaffirmé « l’engagement de l’IPPF à poursuivre la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles, de protéger leurs droits et de garantir la fourniture et l'accès aux services et aux informations nécessaires à la protection de leur santé et de leur bien-être ».  Elle a tenu a souligner l’impact dévastateur des pratiques néfastes sur la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles, ainsi que sur leur santé mentale et psychosociale: “Les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants sont tous deux liés à des taux élevés de mortalité maternelle et à un faible recours à la planification familiale amenant à des grossesses non désirées. Ils privent les femmes de la possibilité d'être éduquées, de devenir des êtres imaginatifs, novateurs et créatifs, de s'ouvrir à de nouvelles possibilités et de profiter, elles et leurs familles, de tous les avantages qu'apporte un emploi décent”.  Elle a également relevé le travail abattu par ses associations membres en matière d’innovation et de capacité de résilience face aux défis de la COVID-19 . « Elles ont, entre autres, développé simultanément la télémédecine, le porte-à-porte et leurs cliniques mobiles pour répondre aux besoins des femmes confinées en matière de SSR, numérisé l'éducation sexuelle pour les jeunes privés d’école, etc. »  Elle a enfin tenu à célébrer l’action des jeunes et à les remercier pour leurs actions en faveur des droits sexuels et reproductifs sur le continent: “Merci jeunes femmes et jeunes hommes, merci pour tout ce que vous faites aujourd’hui, et pour les nombreuses choses que vous allez encore accomplir. Je vous adresse ma grande admiration et je pense que je parle au nom de nombreuses personnes de mon âge lorsque je dis que nous vous admirons et que nous sommes prêts à recevoir votre enseignement”.  Il est du devoir de l’IPPF d’appuyer les jeunes, notamment les jeunes femmes et filles, et de leur apporter tout le soutien dont ils ont besoin pour concrétiser et mettre en action leurs engagements collectifs en faveur des droits sexuels et reproductifs. L’IPPF est et restera à leurs côtés.