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A selection of news from across the Federation

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Afrique

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La région Afrique de l'IPPF est à la recherche de personnes talentueuses pour soutenir son travail.

Dans le cadre de sa stratégie, le bureau régional africain de l'IPPF recrute pour plusieurs postes au Kenya et en Côte d'Ivoire.
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| 08 February 2022

Call for Papers: Self-Care Interventions and Rights-Based Access

The Sexual and Reproductive Health Matters Journal launched a call of papers for the issue titled 'Self-Care Interventions and Rights-Based Access'. This call is for papers which explore strategies for introducing and scaling-up access to self-care interventions for SRH with a specific focus on the needs and rights of vulnerable populations. Vulnerable populations may include, but are not limited to: sex workers; people living with HIV; transgender and gender non-confirming people; lesbian, gay, bisexual and queer people; indigenous peoples; people with disabilities; migrants, refugees and internally displaced people; incarcerated or institutionalized people; and people in, or affected by, humanitarian and emergency crises. Many adolescents, women and elderly populations also face vulnerabilities that may impede their ability to access and/or make informed decisions regarding their health. For more details about this call, please see the detailed description here: CALL for PAPERS. Submissions will be accepted until 31 March 2022. Please share this call widely among your networks. 

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| 20 January 2022

Call for Papers: Self-Care Interventions and Rights-Based Access

The Sexual and Reproductive Health Matters Journal launched a call of papers for the issue titled 'Self-Care Interventions and Rights-Based Access'. This call is for papers which explore strategies for introducing and scaling-up access to self-care interventions for SRH with a specific focus on the needs and rights of vulnerable populations. Vulnerable populations may include, but are not limited to: sex workers; people living with HIV; transgender and gender non-confirming people; lesbian, gay, bisexual and queer people; indigenous peoples; people with disabilities; migrants, refugees and internally displaced people; incarcerated or institutionalized people; and people in, or affected by, humanitarian and emergency crises. Many adolescents, women and elderly populations also face vulnerabilities that may impede their ability to access and/or make informed decisions regarding their health. For more details about this call, please see the detailed description here: CALL for PAPERS. Submissions will be accepted until 31 March 2022. Please share this call widely among your networks. 

Ethiopia youth
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| 13 January 2022

"Let’s talk about sex baby!": Répondre aux besoins des adolescentes et des jeunes femmes en Afrique à l'ère du numérique

Dans le monde numérique d'aujourd'hui, tout est disponible en ligne: les informations, les produits et les services. Avec un taux de pénétration de la téléphonie mobile en Afrique sub-saharienne de 44%, 22% de la population africaine accède dorénavant au monde entier en cliquant simplement sur un bouton. De plus, l'Union africaine et le Groupe de la Banque mondiale se sont engagés à connecter chaque individu, entreprise et gouvernement africain d'ici 2030. Et alors que 60% de la population africaine est âgée de moins de 25 ans, on peut voir cette jeunesse africaine dans les rues de Nairobi, Accra ou Johannesburg, tapoter frénétiquement sur leurs smartphones, utilisant cette technologie numérique, facilement accessible, pour se divertir et s'instruire. Souvent, et sans surprise, cette quête de connaissances est centrée sur le sexe. Ce phénomène a cependant eu un impact moins important sur les filles et les jeunes femmes africaines, qui restent prisonnières de tabous et de normes sociales, incapables d'accéder en ligne à des informations précises sur la santé et les droits sexuels et reproductifs. L'écart entre les sexes en matière de téléphonie mobile signifie que seules deux femmes sur trois en Afrique possèdent un téléphone portable et qu'un tiers seulement utilise régulièrement des données mobiles. Les pratiques culturelles rétrogrades et les normes patriarcales endémiques, notamment le mariage précoce, l'excision, la purification sexuelle et l'héritage des femmes, continent de les exposer à d'innombrables risques. Les IST, le VIH, les violences sexuelles liées au genre et les grossesses chez les adolescentes sont monnaie courante; et les complications liées à la grossesse et à l'accouchement restent la principale cause de décès chez les filles âgées de 15 à 19 ans dans le monde. Cette situation s'est accentuée pendant la pandémie de COVID-19, qui a exacerbé les vulnérabilités des filles et des femmes. Aujourd'hui, alors que nous commémorons la Journée internationale de la fille, centrée sur la "génération numérique", nous souhaitons attirer l'attention sur les "droits" des filles et les défis uniques auxquels elles sont confrontées dans le monde. Le Mouvement d’Action des Jeunes de la Fédération internationale pour la planification familiale (IPPF) - une plateforme de plaidoyer dirigée par des pairs pour les jeunes âgés de 10 à 24 ans - nous montre chaque jour comment l'espace technologique croissant permet lentement aux adolescentes et aux jeunes femmes d'accéder aux appareils numériques et de rechercher des informations sur leur corps, la menstruation, la prévention de la grossesse, le consentement, l'amour, le plaisir, les relations, la contraception et l'avortement sans risque. C’est pourquoi au Nigeria, la Fédération Nigériane du Planning Familial (PPFN) – l’une des 33 Associations Membres  de la Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) - a commencé à fournir des services de santé sexuelle et reproductive aux jeunes en utilisant plusieurs plateformes numériques, notamment les SMS, Facebook, WhatsApp, Instagram, Twitter, Zoom et des appels téléphoniques directs. Ces plateformes offrent des informations précises, interactives, en direct, des sessions éducatives, des consultations individuelles et des orientations personnalisées. Les jeunes peuvent également consulter le site web Youth Connect (https://youthconnect.ppfn.org ) et l'application e-Health du PPFN, tous deux conçus par des jeunes. Au Bénin, l'Association Béninoise pour la Promotion de la Famille a introduit des sessions d'éducation sexuelle complète (ESC) en ligne, en réponse à la fermeture des écoles, basées sur le cadre de l'IPPF pour l'ESC avec des modules sur le genre, la santé sexuelle et reproductive, le VIH, les droits et la citoyenneté sexuels, le plaisir, la violence, la diversité et les relations. Au Togo, l'Association Togolaise pour le Bien-Etre Familial a lancé "InfoAdoJeunes", une application multifonctionnelle développée pour et par les jeunes, qui fournit des informations essentielles sur la santé sexuelle et reproductive de manière amusante et attrayante. L’application comporte 8 onglets de navigation sur l'éducation sexuelle, le cycle menstruel, la contraception, la téléconsultation, la web TV, les jeux et quiz, un forum de discussion et un onglet où les utilisateurs peuvent poser des questions à un expert en temps réel. Ces initiatives se révèlent très efficaces et les réactions, en particulier celles des jeunes femmes et des jeunes filles, sont très positives! L'accès en ligne rapide, opportun et privé aux informations et aux consultations sur la santé sexuelle y est amusant, pratique, sans jugement et confidentiel. Tout le monde y gagne! Nous faisons écho à l'UNFPA: Pour s'assurer un avenir égalitaire, les filles doivent avoir un accès égal aux outils et informations numériques. C'est pourquoi, en cette journée internationale de la fille, l'IPPFAR renouvelle son engagement et appelle les gouvernements à investir dans la technologie numérique afin que les adolescentes et les jeunes filles d'Afrique puissent facilement accéder à des informations précises et de qualité sur leur santé sexuelle et reproductive et qu'elles soient en mesure de prendre des décisions éclairées sur leur corps et leur avenir. Par Marie-Evelyne Petrus-Barry et Monica Mwai Marie-Evelyne Petrus-Barry est la Directrice régionale de la Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) et Monica Mwai est une jeune stagiaire au sein de l'équipe de communication d’IPPFAR. La Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'un des principaux fournisseurs de services de santé sexuelle et reproductive de qualité en Afrique et une voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Pour plus d'informations sur le travail de l'IPPF Région Afrique, suivez-nous sur Facebook, Instagram, You Tube et Twitter.

Ethiopia youth
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| 13 January 2022

"Let’s talk about sex baby!": Répondre aux besoins des adolescentes et des jeunes femmes en Afrique à l'ère du numérique

Dans le monde numérique d'aujourd'hui, tout est disponible en ligne: les informations, les produits et les services. Avec un taux de pénétration de la téléphonie mobile en Afrique sub-saharienne de 44%, 22% de la population africaine accède dorénavant au monde entier en cliquant simplement sur un bouton. De plus, l'Union africaine et le Groupe de la Banque mondiale se sont engagés à connecter chaque individu, entreprise et gouvernement africain d'ici 2030. Et alors que 60% de la population africaine est âgée de moins de 25 ans, on peut voir cette jeunesse africaine dans les rues de Nairobi, Accra ou Johannesburg, tapoter frénétiquement sur leurs smartphones, utilisant cette technologie numérique, facilement accessible, pour se divertir et s'instruire. Souvent, et sans surprise, cette quête de connaissances est centrée sur le sexe. Ce phénomène a cependant eu un impact moins important sur les filles et les jeunes femmes africaines, qui restent prisonnières de tabous et de normes sociales, incapables d'accéder en ligne à des informations précises sur la santé et les droits sexuels et reproductifs. L'écart entre les sexes en matière de téléphonie mobile signifie que seules deux femmes sur trois en Afrique possèdent un téléphone portable et qu'un tiers seulement utilise régulièrement des données mobiles. Les pratiques culturelles rétrogrades et les normes patriarcales endémiques, notamment le mariage précoce, l'excision, la purification sexuelle et l'héritage des femmes, continent de les exposer à d'innombrables risques. Les IST, le VIH, les violences sexuelles liées au genre et les grossesses chez les adolescentes sont monnaie courante; et les complications liées à la grossesse et à l'accouchement restent la principale cause de décès chez les filles âgées de 15 à 19 ans dans le monde. Cette situation s'est accentuée pendant la pandémie de COVID-19, qui a exacerbé les vulnérabilités des filles et des femmes. Aujourd'hui, alors que nous commémorons la Journée internationale de la fille, centrée sur la "génération numérique", nous souhaitons attirer l'attention sur les "droits" des filles et les défis uniques auxquels elles sont confrontées dans le monde. Le Mouvement d’Action des Jeunes de la Fédération internationale pour la planification familiale (IPPF) - une plateforme de plaidoyer dirigée par des pairs pour les jeunes âgés de 10 à 24 ans - nous montre chaque jour comment l'espace technologique croissant permet lentement aux adolescentes et aux jeunes femmes d'accéder aux appareils numériques et de rechercher des informations sur leur corps, la menstruation, la prévention de la grossesse, le consentement, l'amour, le plaisir, les relations, la contraception et l'avortement sans risque. C’est pourquoi au Nigeria, la Fédération Nigériane du Planning Familial (PPFN) – l’une des 33 Associations Membres  de la Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) - a commencé à fournir des services de santé sexuelle et reproductive aux jeunes en utilisant plusieurs plateformes numériques, notamment les SMS, Facebook, WhatsApp, Instagram, Twitter, Zoom et des appels téléphoniques directs. Ces plateformes offrent des informations précises, interactives, en direct, des sessions éducatives, des consultations individuelles et des orientations personnalisées. Les jeunes peuvent également consulter le site web Youth Connect (https://youthconnect.ppfn.org ) et l'application e-Health du PPFN, tous deux conçus par des jeunes. Au Bénin, l'Association Béninoise pour la Promotion de la Famille a introduit des sessions d'éducation sexuelle complète (ESC) en ligne, en réponse à la fermeture des écoles, basées sur le cadre de l'IPPF pour l'ESC avec des modules sur le genre, la santé sexuelle et reproductive, le VIH, les droits et la citoyenneté sexuels, le plaisir, la violence, la diversité et les relations. Au Togo, l'Association Togolaise pour le Bien-Etre Familial a lancé "InfoAdoJeunes", une application multifonctionnelle développée pour et par les jeunes, qui fournit des informations essentielles sur la santé sexuelle et reproductive de manière amusante et attrayante. L’application comporte 8 onglets de navigation sur l'éducation sexuelle, le cycle menstruel, la contraception, la téléconsultation, la web TV, les jeux et quiz, un forum de discussion et un onglet où les utilisateurs peuvent poser des questions à un expert en temps réel. Ces initiatives se révèlent très efficaces et les réactions, en particulier celles des jeunes femmes et des jeunes filles, sont très positives! L'accès en ligne rapide, opportun et privé aux informations et aux consultations sur la santé sexuelle y est amusant, pratique, sans jugement et confidentiel. Tout le monde y gagne! Nous faisons écho à l'UNFPA: Pour s'assurer un avenir égalitaire, les filles doivent avoir un accès égal aux outils et informations numériques. C'est pourquoi, en cette journée internationale de la fille, l'IPPFAR renouvelle son engagement et appelle les gouvernements à investir dans la technologie numérique afin que les adolescentes et les jeunes filles d'Afrique puissent facilement accéder à des informations précises et de qualité sur leur santé sexuelle et reproductive et qu'elles soient en mesure de prendre des décisions éclairées sur leur corps et leur avenir. Par Marie-Evelyne Petrus-Barry et Monica Mwai Marie-Evelyne Petrus-Barry est la Directrice régionale de la Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) et Monica Mwai est une jeune stagiaire au sein de l'équipe de communication d’IPPFAR. La Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'un des principaux fournisseurs de services de santé sexuelle et reproductive de qualité en Afrique et une voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Pour plus d'informations sur le travail de l'IPPF Région Afrique, suivez-nous sur Facebook, Instagram, You Tube et Twitter.

Ethiopia youth
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| 13 January 2022

“Let’s talk about sex baby”: Responding to the Needs of Adolescent Girls and Young Women in Africa in the Digital Age

In todays’ digital world, everything is available online. Information, products, and services. 22% of the African population, can access the world at the click of a button and mobile penetration rate in Sub-Saharan Africa is at 44%. The African Union and the World Bank Group have committed to connecting every African individual, business, and government by 2030. 60% of Africa’s population is <25 years. The young Africans can be seen on the streets of Nairobi, Accra, and Johannesburg, swiping left and right, using this readily available digital technology for entertainment, education, and learning. Often, and unsurprisingly, this pursuit for knowledge is centered around sex. This phenomenon has though had a less impressive impact on African girls and young women, who continue to be trapped by taboos and restrictive gender and social norms, unable to access accurate sexual and reproductive health and rights information online. The Mobile Gender Gap means only two out of three women in Africa own a mobile phone, and only a third use mobile data regularly. Retrogressive cultural practices and patriarchal norms though are endemic including early marriage, female genital cutting, sexual cleansing, and wife inheritance, exposing them to innumerable risks. STIs, HIV, gender-based sexual violence and teenage pregnancies are commonplace; and complications from pregnancy and childbirth complications remain the leading cause of death among girls aged 15–19 years globally. Today, as we commemorate the International Day of the Girl Child centered on the ‘Digital Generation’ we want to call attention to the rights’ of the girl child and the unique challenges they face globally. IPPFs Youth Action Movement, a peer-led advocacy platform for young people aged 10-24 years, is showing us how the growing technological space is slowly permitting adolescent girls and young women to access digital devices and seek information about their bodies, menstruation, pregnancy prevention, peer pressure, love, pleasure, relationships, contraception and safe abortion. This became more pronounced during the COVID-19 pandemic, which exacerbated the vulnerabilities of girls and women. In Nigeria, the Planned Parenthood of Nigeria  – began delivering sexual reproductive health services using several digital and online platforms including: Short Message Service (SMS), Facebook, WhatsApp, Instagram, Twitter, Zoom and direct telephone calls. These platforms offered accurate, live interactive information and educational sessions, one-to-one consultations and respective referrals. Young people are additionally reached through the Youth Connect website (https://youthconnect.ppfn.org) and ‘The PPFN e-Health App’ which were both co-designed by young people. In Benin, the Association Béninoise pour la Promotion de la Famille introduced online comprehensive sexuality educations sessions, in response to school closures, based on the IPPF’s Framework for CSE: gender, sexual and reproductive health and HIV, sexual rights and sexual citizenship, pleasure, violence, diversity and relationships. In Togo, the Association Togolaise pour le Bien-Etre Familial launched ‘InfoAdoJeunes’, a multi-functional app that was developed for and by young people, providing critical information about sexual and reproductive health in a fun and engaging manner. The 8 navigation tabs: sexuality education, the menstrual cycle, teleconsultation, web TV, games and quizzes, a chat forum, contraception, and a tab where users can ask an experts questions in real-time. These initiatives are proving to be very successful, and feedback, in particular from the young women and girls, has been very positive! Quick, timely, private, online access to information and consultations around sexual health is fun, convenient, non-judgemental and protects their privacy. A win-win all around! We echo UNFPA: To secure an equal future, girls need equal access to digital tools and information. This is why, on this international day of the Girl Child, IPPF’s renews its commitment and call on governments and support to invest in digital technology to ensure adolescents and young girls in Africa can easily access high-quality, accurate information around their sexual and reproductive health and are empowered to make informed decisions about their bodies and their futures. Marie-Evelyne Petrus-Barry is the Regional Director of the International Planned Parenthood Federation, Africa Region (IPPFAR) and Monica Mwai is a Youth Intern within the Communications Team. By Marie-Evelyne Petrus-Barry and Monica Mwai The International Planned Parenthood Federation Africa Region (IPPFAR) is one of the leading providers of quality sexual and reproductive health (SRH) services in Africa and a sexual and reproductive health and rights (SRHR) advocacy voice in the region. For more updates on our work, follow IPPF Africa Region on Facebook, Twitter, Instagram and You Tube.

Ethiopia youth
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| 13 January 2022

“Let’s talk about sex baby”: Responding to the Needs of Adolescent Girls and Young Women in Africa in the Digital Age

In todays’ digital world, everything is available online. Information, products, and services. 22% of the African population, can access the world at the click of a button and mobile penetration rate in Sub-Saharan Africa is at 44%. The African Union and the World Bank Group have committed to connecting every African individual, business, and government by 2030. 60% of Africa’s population is <25 years. The young Africans can be seen on the streets of Nairobi, Accra, and Johannesburg, swiping left and right, using this readily available digital technology for entertainment, education, and learning. Often, and unsurprisingly, this pursuit for knowledge is centered around sex. This phenomenon has though had a less impressive impact on African girls and young women, who continue to be trapped by taboos and restrictive gender and social norms, unable to access accurate sexual and reproductive health and rights information online. The Mobile Gender Gap means only two out of three women in Africa own a mobile phone, and only a third use mobile data regularly. Retrogressive cultural practices and patriarchal norms though are endemic including early marriage, female genital cutting, sexual cleansing, and wife inheritance, exposing them to innumerable risks. STIs, HIV, gender-based sexual violence and teenage pregnancies are commonplace; and complications from pregnancy and childbirth complications remain the leading cause of death among girls aged 15–19 years globally. Today, as we commemorate the International Day of the Girl Child centered on the ‘Digital Generation’ we want to call attention to the rights’ of the girl child and the unique challenges they face globally. IPPFs Youth Action Movement, a peer-led advocacy platform for young people aged 10-24 years, is showing us how the growing technological space is slowly permitting adolescent girls and young women to access digital devices and seek information about their bodies, menstruation, pregnancy prevention, peer pressure, love, pleasure, relationships, contraception and safe abortion. This became more pronounced during the COVID-19 pandemic, which exacerbated the vulnerabilities of girls and women. In Nigeria, the Planned Parenthood of Nigeria  – began delivering sexual reproductive health services using several digital and online platforms including: Short Message Service (SMS), Facebook, WhatsApp, Instagram, Twitter, Zoom and direct telephone calls. These platforms offered accurate, live interactive information and educational sessions, one-to-one consultations and respective referrals. Young people are additionally reached through the Youth Connect website (https://youthconnect.ppfn.org) and ‘The PPFN e-Health App’ which were both co-designed by young people. In Benin, the Association Béninoise pour la Promotion de la Famille introduced online comprehensive sexuality educations sessions, in response to school closures, based on the IPPF’s Framework for CSE: gender, sexual and reproductive health and HIV, sexual rights and sexual citizenship, pleasure, violence, diversity and relationships. In Togo, the Association Togolaise pour le Bien-Etre Familial launched ‘InfoAdoJeunes’, a multi-functional app that was developed for and by young people, providing critical information about sexual and reproductive health in a fun and engaging manner. The 8 navigation tabs: sexuality education, the menstrual cycle, teleconsultation, web TV, games and quizzes, a chat forum, contraception, and a tab where users can ask an experts questions in real-time. These initiatives are proving to be very successful, and feedback, in particular from the young women and girls, has been very positive! Quick, timely, private, online access to information and consultations around sexual health is fun, convenient, non-judgemental and protects their privacy. A win-win all around! We echo UNFPA: To secure an equal future, girls need equal access to digital tools and information. This is why, on this international day of the Girl Child, IPPF’s renews its commitment and call on governments and support to invest in digital technology to ensure adolescents and young girls in Africa can easily access high-quality, accurate information around their sexual and reproductive health and are empowered to make informed decisions about their bodies and their futures. Marie-Evelyne Petrus-Barry is the Regional Director of the International Planned Parenthood Federation, Africa Region (IPPFAR) and Monica Mwai is a Youth Intern within the Communications Team. By Marie-Evelyne Petrus-Barry and Monica Mwai The International Planned Parenthood Federation Africa Region (IPPFAR) is one of the leading providers of quality sexual and reproductive health (SRH) services in Africa and a sexual and reproductive health and rights (SRHR) advocacy voice in the region. For more updates on our work, follow IPPF Africa Region on Facebook, Twitter, Instagram and You Tube.

YOUTH
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| 13 January 2022

Africa Youth Month: Taking Stock of Africa’s Commitments to Young People

It is now slightly more than 15 years since the Assembly of the Heads of States of the African Union adopted the Africa Youth Charter in Banjul, The Gambia. Although this Charter provides a strategic framework towards consolidating an approach for the enforcement of meaningful youth involvement in Africa's development agenda, the ideals of this Charter are yet to be realized by young people in their diversities.  Indeed, Africa's development agenda must be linked to the health and well-being of its young people. The United Nations World Population Prospects has documented an incremental growth in young people between the ages of 15 – 24 in Africa since 1952 and this growth has continued to escalate throughout the years. The report also projects that by 2030, over half of the countries in Africa will have more than a 40 per cent increase in the number of young people. These figures demonstrate the need for more meaningful engagement of young people who will be the driving force behind the continent's development agenda.  The sexual and reproductive health and rights (SRHR) of young people in Africa is an agenda that requires a thorough reflection and a particular prioritization by all stakeholders. Young people's sexual and reproductive health needs are most often overlooked due to a myriad of factors, including customs and taboos which impede their access to contraceptives, parental or spousal consent legislations, Sexual and Reproductive Health (SRH) services that are inadequate or ill-adapted to cater to the diversity of needs of young people. In addition, adolescents and young people lack information on menstrual hygiene, different types of STIs, contraception, prevention of sexual violence, among other topics. Yet this information is vital in enabling them to make informed decisions and equiping them with skills they need to fully enjoy their SRHR. This problematic situation has been worsened by the COVID-19 pandemic, which has exacerbated the vulnerability of young people, with many exposed to sexual and gender-based violence, sexual exploitation, and as well as the closure of clinics and other emergency support services. As many school closed, adolescent girls and young women have been particularly affected and teenage pregnancies have risen as a result of sexual violence and a lack of information on SRH education.     Consequently, this year, as the African Union dedicates the month of November to celebrate Africa’s Youth under the theme " Defining the Future Today: Youth-Led Solutions for Building the Africa We Want”, it is essential that the continent reflects and acts on its commitment towards young people as highlighted in its development agenda 2063 and specifically in the Africa Youth Charter. Young people in Africa are not vulnerable, but they are made vulnerable when they are not involved, heard, engaged, allowed to lead, able to share their ideas of where they want to see the continent in the following years and provided with the knowledge and information necessary to make their own choices and to determine their destiny, particularly concerning their sexual and reproductive health and rights.    Africa is not short of young people who can lead, provide the change we want, and support advancing Africa's development agenda. In Ghana, the Youth Action Movement (YAM), a nationwide network of young people leading and promoting young people's SRHR, has defined itself as a movement by and for Ghanaian youth. The movement’s advocacy on SRHR information and services and young people has led to an increase in young people taking leadership positions, campaigning and  engaging the government on sexual and reproductive health. The YAM has advocated for a positive change in access to youth friendly services at the community level. This has led to an increase in the number of clinics providing youth-friendly SRHR services in Ghana. The movement has also complemented government efforts by providing SRHR information and services to the general population, particularly adolescents, women, men and vulnerable groups, including persons living with a disability. The YAM is also actively involved in linking young people to services through the outreach programme organized by the Planned Parenthood Association of Ghana programme entitled "YENKASA", meaning ‘let's talk’ in local Twi language. Since its establishment in 2020, the contact center has responded to the SRHR needs and challenges of thousands of young people in Ghana.   The youth in Africa continue to demonstrate that they are capable and ready to be entrusted drivers and partners in Africa’s development agenda, including in the field of SRHR. It is now for Africa’s leaders and institutions to give them the trust and the space that they have strived for and earned.   Anita Nyanjong is the Global Lead, Youth at International Planned Parenthood Federation (IPPF).  Claudia Lawson is the Youth Action Movement (YAM) President, Ghana.

YOUTH
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| 13 January 2022

Africa Youth Month: Taking Stock of Africa’s Commitments to Young People

It is now slightly more than 15 years since the Assembly of the Heads of States of the African Union adopted the Africa Youth Charter in Banjul, The Gambia. Although this Charter provides a strategic framework towards consolidating an approach for the enforcement of meaningful youth involvement in Africa's development agenda, the ideals of this Charter are yet to be realized by young people in their diversities.  Indeed, Africa's development agenda must be linked to the health and well-being of its young people. The United Nations World Population Prospects has documented an incremental growth in young people between the ages of 15 – 24 in Africa since 1952 and this growth has continued to escalate throughout the years. The report also projects that by 2030, over half of the countries in Africa will have more than a 40 per cent increase in the number of young people. These figures demonstrate the need for more meaningful engagement of young people who will be the driving force behind the continent's development agenda.  The sexual and reproductive health and rights (SRHR) of young people in Africa is an agenda that requires a thorough reflection and a particular prioritization by all stakeholders. Young people's sexual and reproductive health needs are most often overlooked due to a myriad of factors, including customs and taboos which impede their access to contraceptives, parental or spousal consent legislations, Sexual and Reproductive Health (SRH) services that are inadequate or ill-adapted to cater to the diversity of needs of young people. In addition, adolescents and young people lack information on menstrual hygiene, different types of STIs, contraception, prevention of sexual violence, among other topics. Yet this information is vital in enabling them to make informed decisions and equiping them with skills they need to fully enjoy their SRHR. This problematic situation has been worsened by the COVID-19 pandemic, which has exacerbated the vulnerability of young people, with many exposed to sexual and gender-based violence, sexual exploitation, and as well as the closure of clinics and other emergency support services. As many school closed, adolescent girls and young women have been particularly affected and teenage pregnancies have risen as a result of sexual violence and a lack of information on SRH education.     Consequently, this year, as the African Union dedicates the month of November to celebrate Africa’s Youth under the theme " Defining the Future Today: Youth-Led Solutions for Building the Africa We Want”, it is essential that the continent reflects and acts on its commitment towards young people as highlighted in its development agenda 2063 and specifically in the Africa Youth Charter. Young people in Africa are not vulnerable, but they are made vulnerable when they are not involved, heard, engaged, allowed to lead, able to share their ideas of where they want to see the continent in the following years and provided with the knowledge and information necessary to make their own choices and to determine their destiny, particularly concerning their sexual and reproductive health and rights.    Africa is not short of young people who can lead, provide the change we want, and support advancing Africa's development agenda. In Ghana, the Youth Action Movement (YAM), a nationwide network of young people leading and promoting young people's SRHR, has defined itself as a movement by and for Ghanaian youth. The movement’s advocacy on SRHR information and services and young people has led to an increase in young people taking leadership positions, campaigning and  engaging the government on sexual and reproductive health. The YAM has advocated for a positive change in access to youth friendly services at the community level. This has led to an increase in the number of clinics providing youth-friendly SRHR services in Ghana. The movement has also complemented government efforts by providing SRHR information and services to the general population, particularly adolescents, women, men and vulnerable groups, including persons living with a disability. The YAM is also actively involved in linking young people to services through the outreach programme organized by the Planned Parenthood Association of Ghana programme entitled "YENKASA", meaning ‘let's talk’ in local Twi language. Since its establishment in 2020, the contact center has responded to the SRHR needs and challenges of thousands of young people in Ghana.   The youth in Africa continue to demonstrate that they are capable and ready to be entrusted drivers and partners in Africa’s development agenda, including in the field of SRHR. It is now for Africa’s leaders and institutions to give them the trust and the space that they have strived for and earned.   Anita Nyanjong is the Global Lead, Youth at International Planned Parenthood Federation (IPPF).  Claudia Lawson is the Youth Action Movement (YAM) President, Ghana.

NIGER
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| 13 January 2022

Sommet des filles africaines 2021: l’IPPF réaffirme son engagement dans la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles.

La Directrice régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) Afrique a activement pris part au au Sommet des filles Africaines à Niamey, au Niger, du 16 au 18 Novembre 2021.  Organisé par la Commission de l’Union Africaine, le Sommet des filles africaines vise à accélérer la réalisation de leurs droits, notamment l’élimination des pratiques néfastes - dont la mutilation génitale féminine, le mariage précoce ou encore le bandages des seins - mais aussi leurs droits à l’éducation et à la santé sexuelle et reproductive. Il s’agit du troisième sommet sur ce thème, la première édition s’étant tenue à Lusaka en Zambie du 26 au 27 Novembre 2015 et le 2ème sommet à Accra au Ghana du 21 au 24 Novembre 2018. Durant la cérémonie d’ouverture, la représentante de l’Envoyée spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies sur les questions de violences contre les enfants, Mme Najat Maalla M’Jid, a partagé un message fort : « nous devons garder à l’esprit que les enfants et les jeunes d’Afrique représentent un capital, constituent la source la plus riche d’Afrique, avec une population qui ne cesse d'accroître et qui devrait atteindre 830 millions d’ici 2050». Dans son allocution, le Chef d’Etat du Niger, Mohamed Bazoum a, quant à lui, affirmé que la thématique du sommet confirme « l’engagement des pays africains à œuvrer solidairement pour le développement humain sur le continent en s’appuyant en particulier sur les femmes et les jeunes ». Selon lui, « Nous avons donc, à travers cette rencontre, l’occasion d’analyser, de suivre et de mieux orienter les actions de nos Etats en matière de protection des droits humains des filles qui constituent une frange importante de la population de nos pays ». L’IPPF a pour sa part marqué sa participation à travers l’intervention de la Directrice régionale pour l’Afrique, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry lors de deux panels, consacrés respectivement aux thèmes: "L’impact de la COVID-19 sur les femmes et les filles: une réponse intégrée" et "Les jeunes s'engagent auprès des États membres pour mettre fin aux pratiques néfastes". Lors de ces échanges, la directrice régionale a réaffirmé « l’engagement de l’IPPF à poursuivre la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles, de protéger leurs droits et de garantir la fourniture et l'accès aux services et aux informations nécessaires à la protection de leur santé et de leur bien-être ».  Elle a tenu a souligner l’impact dévastateur des pratiques néfastes sur la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles, ainsi que sur leur santé mentale et psychosociale: “Les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants sont tous deux liés à des taux élevés de mortalité maternelle et à un faible recours à la planification familiale amenant à des grossesses non désirées. Ils privent les femmes de la possibilité d'être éduquées, de devenir des êtres imaginatifs, novateurs et créatifs, de s'ouvrir à de nouvelles possibilités et de profiter, elles et leurs familles, de tous les avantages qu'apporte un emploi décent”.  Elle a également relevé le travail abattu par ses associations membres en matière d’innovation et de capacité de résilience face aux défis de la COVID-19 . « Elles ont, entre autres, développé simultanément la télémédecine, le porte-à-porte et leurs cliniques mobiles pour répondre aux besoins des femmes confinées en matière de SSR, numérisé l'éducation sexuelle pour les jeunes privés d’école, etc. »  Elle a enfin tenu à célébrer l’action des jeunes et à les remercier pour leurs actions en faveur des droits sexuels et reproductifs sur le continent: “Merci jeunes femmes et jeunes hommes, merci pour tout ce que vous faites aujourd’hui, et pour les nombreuses choses que vous allez encore accomplir. Je vous adresse ma grande admiration et je pense que je parle au nom de nombreuses personnes de mon âge lorsque je dis que nous vous admirons et que nous sommes prêts à recevoir votre enseignement”.  Il est du devoir de l’IPPF d’appuyer les jeunes, notamment les jeunes femmes et filles, et de leur apporter tout le soutien dont ils ont besoin pour concrétiser et mettre en action leurs engagements collectifs en faveur des droits sexuels et reproductifs. L’IPPF est et restera à leurs côtés. 

NIGER
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| 18 November 2021

Sommet des filles africaines 2021: l’IPPF réaffirme son engagement dans la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles.

La Directrice régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) Afrique a activement pris part au au Sommet des filles Africaines à Niamey, au Niger, du 16 au 18 Novembre 2021.  Organisé par la Commission de l’Union Africaine, le Sommet des filles africaines vise à accélérer la réalisation de leurs droits, notamment l’élimination des pratiques néfastes - dont la mutilation génitale féminine, le mariage précoce ou encore le bandages des seins - mais aussi leurs droits à l’éducation et à la santé sexuelle et reproductive. Il s’agit du troisième sommet sur ce thème, la première édition s’étant tenue à Lusaka en Zambie du 26 au 27 Novembre 2015 et le 2ème sommet à Accra au Ghana du 21 au 24 Novembre 2018. Durant la cérémonie d’ouverture, la représentante de l’Envoyée spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies sur les questions de violences contre les enfants, Mme Najat Maalla M’Jid, a partagé un message fort : « nous devons garder à l’esprit que les enfants et les jeunes d’Afrique représentent un capital, constituent la source la plus riche d’Afrique, avec une population qui ne cesse d'accroître et qui devrait atteindre 830 millions d’ici 2050». Dans son allocution, le Chef d’Etat du Niger, Mohamed Bazoum a, quant à lui, affirmé que la thématique du sommet confirme « l’engagement des pays africains à œuvrer solidairement pour le développement humain sur le continent en s’appuyant en particulier sur les femmes et les jeunes ». Selon lui, « Nous avons donc, à travers cette rencontre, l’occasion d’analyser, de suivre et de mieux orienter les actions de nos Etats en matière de protection des droits humains des filles qui constituent une frange importante de la population de nos pays ». L’IPPF a pour sa part marqué sa participation à travers l’intervention de la Directrice régionale pour l’Afrique, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry lors de deux panels, consacrés respectivement aux thèmes: "L’impact de la COVID-19 sur les femmes et les filles: une réponse intégrée" et "Les jeunes s'engagent auprès des États membres pour mettre fin aux pratiques néfastes". Lors de ces échanges, la directrice régionale a réaffirmé « l’engagement de l’IPPF à poursuivre la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles, de protéger leurs droits et de garantir la fourniture et l'accès aux services et aux informations nécessaires à la protection de leur santé et de leur bien-être ».  Elle a tenu a souligner l’impact dévastateur des pratiques néfastes sur la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles, ainsi que sur leur santé mentale et psychosociale: “Les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants sont tous deux liés à des taux élevés de mortalité maternelle et à un faible recours à la planification familiale amenant à des grossesses non désirées. Ils privent les femmes de la possibilité d'être éduquées, de devenir des êtres imaginatifs, novateurs et créatifs, de s'ouvrir à de nouvelles possibilités et de profiter, elles et leurs familles, de tous les avantages qu'apporte un emploi décent”.  Elle a également relevé le travail abattu par ses associations membres en matière d’innovation et de capacité de résilience face aux défis de la COVID-19 . « Elles ont, entre autres, développé simultanément la télémédecine, le porte-à-porte et leurs cliniques mobiles pour répondre aux besoins des femmes confinées en matière de SSR, numérisé l'éducation sexuelle pour les jeunes privés d’école, etc. »  Elle a enfin tenu à célébrer l’action des jeunes et à les remercier pour leurs actions en faveur des droits sexuels et reproductifs sur le continent: “Merci jeunes femmes et jeunes hommes, merci pour tout ce que vous faites aujourd’hui, et pour les nombreuses choses que vous allez encore accomplir. Je vous adresse ma grande admiration et je pense que je parle au nom de nombreuses personnes de mon âge lorsque je dis que nous vous admirons et que nous sommes prêts à recevoir votre enseignement”.  Il est du devoir de l’IPPF d’appuyer les jeunes, notamment les jeunes femmes et filles, et de leur apporter tout le soutien dont ils ont besoin pour concrétiser et mettre en action leurs engagements collectifs en faveur des droits sexuels et reproductifs. L’IPPF est et restera à leurs côtés. 

IPPF EN CI
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| 13 January 2022

Ancrage de l’IPPF en l’Afrique de l’Ouest et du Centre : les autorités ivoiriennes donnent leur accord pour l’ouverture d’un bureau sous régional de l’IPPF en Côte d’Ivoire

Abidjan le 10 novembre 2021 – Du 02 au 10 novembre 2021, une mission de haut niveau du bureau régional Afrique de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) a séjourné en Côte d’Ivoire. Conduite par sa directrice régionale, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry, l’objectif principal de la mission était de rencontrer les autorités ivoiriennes et d’aborder la question du projet d’ouverture d’un bureau sous-régional pour l'Afrique de l'Ouest et du centre à Abidjan. En ouvrant ce nouveau bureau, l’IPPF ambitionne de mieux servir ses associations membres, notamment celles des pays francophones d'Afrique de l'Ouest et du Centre, et de répondre à la volonté croissante des bailleurs de fonds de financer des projets et programmes dans cette région. Le Bureau régional de l’IPPF, basé à Nairobi (Kenya), est une organisation internationale de droits humains centrée sur la planification familiale et la santé de la reproduction. Elle est présente dans 39 pays de la région de l’Afrique subsaharienne, dont la Côte d’Ivoire, par le biais d’associations membres opérant localement. Elle représente le plus grand réseau d’associations dédiées aux droits des femmes et de la planification familiale en Afrique. En Côte d’Ivoire, l’Association Ivoirienne pour le Bien-Être Familial (AIBEF) est l’association membre de l’IPPF. En compagnie des responsables de l’AIBEF, la délégation de l’IPPF a rencontré successivement le Ministre Délégué auprès du Ministre d’État, Ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora; M. Alcide DJEDJE ; la Ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, Mme Myss Belmonde DOGO ; la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Mme Nassénéba TOURÉ ; la Ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora, Mme Kandia KAMISSOKO CAMARA et enfin, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, M. Patrick Jérôme ACHI. Les échanges ont permis à la délégation de présenter le mandat de l’IPPF, ses résultats en Afrique et de solliciter formellement un accord de siège pour le futur bureau sous régional de l’IPPF. Les officiels ivoiriens ont salué le travail de l’IPPF en matière de santé sexuelle et reproductive et exprimé leur enthousiasme à accueillir le nouveau bureau de l’organisation dans le pays. Un accord de principe a été donné par la Ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora, Mme Kandia KAMISSOKO CAMARA et le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, M. Patrick Jérôme ACHI en attendant que les différentes équipes s’attellent à la formalisation des étapes administratives d’installation du nouveau bureau.

IPPF EN CI
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| 11 November 2021

Ancrage de l’IPPF en l’Afrique de l’Ouest et du Centre : les autorités ivoiriennes donnent leur accord pour l’ouverture d’un bureau sous régional de l’IPPF en Côte d’Ivoire

Abidjan le 10 novembre 2021 – Du 02 au 10 novembre 2021, une mission de haut niveau du bureau régional Afrique de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) a séjourné en Côte d’Ivoire. Conduite par sa directrice régionale, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry, l’objectif principal de la mission était de rencontrer les autorités ivoiriennes et d’aborder la question du projet d’ouverture d’un bureau sous-régional pour l'Afrique de l'Ouest et du centre à Abidjan. En ouvrant ce nouveau bureau, l’IPPF ambitionne de mieux servir ses associations membres, notamment celles des pays francophones d'Afrique de l'Ouest et du Centre, et de répondre à la volonté croissante des bailleurs de fonds de financer des projets et programmes dans cette région. Le Bureau régional de l’IPPF, basé à Nairobi (Kenya), est une organisation internationale de droits humains centrée sur la planification familiale et la santé de la reproduction. Elle est présente dans 39 pays de la région de l’Afrique subsaharienne, dont la Côte d’Ivoire, par le biais d’associations membres opérant localement. Elle représente le plus grand réseau d’associations dédiées aux droits des femmes et de la planification familiale en Afrique. En Côte d’Ivoire, l’Association Ivoirienne pour le Bien-Être Familial (AIBEF) est l’association membre de l’IPPF. En compagnie des responsables de l’AIBEF, la délégation de l’IPPF a rencontré successivement le Ministre Délégué auprès du Ministre d’État, Ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora; M. Alcide DJEDJE ; la Ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, Mme Myss Belmonde DOGO ; la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Mme Nassénéba TOURÉ ; la Ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora, Mme Kandia KAMISSOKO CAMARA et enfin, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, M. Patrick Jérôme ACHI. Les échanges ont permis à la délégation de présenter le mandat de l’IPPF, ses résultats en Afrique et de solliciter formellement un accord de siège pour le futur bureau sous régional de l’IPPF. Les officiels ivoiriens ont salué le travail de l’IPPF en matière de santé sexuelle et reproductive et exprimé leur enthousiasme à accueillir le nouveau bureau de l’organisation dans le pays. Un accord de principe a été donné par la Ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora, Mme Kandia KAMISSOKO CAMARA et le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, M. Patrick Jérôme ACHI en attendant que les différentes équipes s’attellent à la formalisation des étapes administratives d’installation du nouveau bureau.

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| 08 February 2022

Call for Papers: Self-Care Interventions and Rights-Based Access

The Sexual and Reproductive Health Matters Journal launched a call of papers for the issue titled 'Self-Care Interventions and Rights-Based Access'. This call is for papers which explore strategies for introducing and scaling-up access to self-care interventions for SRH with a specific focus on the needs and rights of vulnerable populations. Vulnerable populations may include, but are not limited to: sex workers; people living with HIV; transgender and gender non-confirming people; lesbian, gay, bisexual and queer people; indigenous peoples; people with disabilities; migrants, refugees and internally displaced people; incarcerated or institutionalized people; and people in, or affected by, humanitarian and emergency crises. Many adolescents, women and elderly populations also face vulnerabilities that may impede their ability to access and/or make informed decisions regarding their health. For more details about this call, please see the detailed description here: CALL for PAPERS. Submissions will be accepted until 31 March 2022. Please share this call widely among your networks. 

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| 20 January 2022

Call for Papers: Self-Care Interventions and Rights-Based Access

The Sexual and Reproductive Health Matters Journal launched a call of papers for the issue titled 'Self-Care Interventions and Rights-Based Access'. This call is for papers which explore strategies for introducing and scaling-up access to self-care interventions for SRH with a specific focus on the needs and rights of vulnerable populations. Vulnerable populations may include, but are not limited to: sex workers; people living with HIV; transgender and gender non-confirming people; lesbian, gay, bisexual and queer people; indigenous peoples; people with disabilities; migrants, refugees and internally displaced people; incarcerated or institutionalized people; and people in, or affected by, humanitarian and emergency crises. Many adolescents, women and elderly populations also face vulnerabilities that may impede their ability to access and/or make informed decisions regarding their health. For more details about this call, please see the detailed description here: CALL for PAPERS. Submissions will be accepted until 31 March 2022. Please share this call widely among your networks. 

Ethiopia youth
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| 13 January 2022

"Let’s talk about sex baby!": Répondre aux besoins des adolescentes et des jeunes femmes en Afrique à l'ère du numérique

Dans le monde numérique d'aujourd'hui, tout est disponible en ligne: les informations, les produits et les services. Avec un taux de pénétration de la téléphonie mobile en Afrique sub-saharienne de 44%, 22% de la population africaine accède dorénavant au monde entier en cliquant simplement sur un bouton. De plus, l'Union africaine et le Groupe de la Banque mondiale se sont engagés à connecter chaque individu, entreprise et gouvernement africain d'ici 2030. Et alors que 60% de la population africaine est âgée de moins de 25 ans, on peut voir cette jeunesse africaine dans les rues de Nairobi, Accra ou Johannesburg, tapoter frénétiquement sur leurs smartphones, utilisant cette technologie numérique, facilement accessible, pour se divertir et s'instruire. Souvent, et sans surprise, cette quête de connaissances est centrée sur le sexe. Ce phénomène a cependant eu un impact moins important sur les filles et les jeunes femmes africaines, qui restent prisonnières de tabous et de normes sociales, incapables d'accéder en ligne à des informations précises sur la santé et les droits sexuels et reproductifs. L'écart entre les sexes en matière de téléphonie mobile signifie que seules deux femmes sur trois en Afrique possèdent un téléphone portable et qu'un tiers seulement utilise régulièrement des données mobiles. Les pratiques culturelles rétrogrades et les normes patriarcales endémiques, notamment le mariage précoce, l'excision, la purification sexuelle et l'héritage des femmes, continent de les exposer à d'innombrables risques. Les IST, le VIH, les violences sexuelles liées au genre et les grossesses chez les adolescentes sont monnaie courante; et les complications liées à la grossesse et à l'accouchement restent la principale cause de décès chez les filles âgées de 15 à 19 ans dans le monde. Cette situation s'est accentuée pendant la pandémie de COVID-19, qui a exacerbé les vulnérabilités des filles et des femmes. Aujourd'hui, alors que nous commémorons la Journée internationale de la fille, centrée sur la "génération numérique", nous souhaitons attirer l'attention sur les "droits" des filles et les défis uniques auxquels elles sont confrontées dans le monde. Le Mouvement d’Action des Jeunes de la Fédération internationale pour la planification familiale (IPPF) - une plateforme de plaidoyer dirigée par des pairs pour les jeunes âgés de 10 à 24 ans - nous montre chaque jour comment l'espace technologique croissant permet lentement aux adolescentes et aux jeunes femmes d'accéder aux appareils numériques et de rechercher des informations sur leur corps, la menstruation, la prévention de la grossesse, le consentement, l'amour, le plaisir, les relations, la contraception et l'avortement sans risque. C’est pourquoi au Nigeria, la Fédération Nigériane du Planning Familial (PPFN) – l’une des 33 Associations Membres  de la Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) - a commencé à fournir des services de santé sexuelle et reproductive aux jeunes en utilisant plusieurs plateformes numériques, notamment les SMS, Facebook, WhatsApp, Instagram, Twitter, Zoom et des appels téléphoniques directs. Ces plateformes offrent des informations précises, interactives, en direct, des sessions éducatives, des consultations individuelles et des orientations personnalisées. Les jeunes peuvent également consulter le site web Youth Connect (https://youthconnect.ppfn.org ) et l'application e-Health du PPFN, tous deux conçus par des jeunes. Au Bénin, l'Association Béninoise pour la Promotion de la Famille a introduit des sessions d'éducation sexuelle complète (ESC) en ligne, en réponse à la fermeture des écoles, basées sur le cadre de l'IPPF pour l'ESC avec des modules sur le genre, la santé sexuelle et reproductive, le VIH, les droits et la citoyenneté sexuels, le plaisir, la violence, la diversité et les relations. Au Togo, l'Association Togolaise pour le Bien-Etre Familial a lancé "InfoAdoJeunes", une application multifonctionnelle développée pour et par les jeunes, qui fournit des informations essentielles sur la santé sexuelle et reproductive de manière amusante et attrayante. L’application comporte 8 onglets de navigation sur l'éducation sexuelle, le cycle menstruel, la contraception, la téléconsultation, la web TV, les jeux et quiz, un forum de discussion et un onglet où les utilisateurs peuvent poser des questions à un expert en temps réel. Ces initiatives se révèlent très efficaces et les réactions, en particulier celles des jeunes femmes et des jeunes filles, sont très positives! L'accès en ligne rapide, opportun et privé aux informations et aux consultations sur la santé sexuelle y est amusant, pratique, sans jugement et confidentiel. Tout le monde y gagne! Nous faisons écho à l'UNFPA: Pour s'assurer un avenir égalitaire, les filles doivent avoir un accès égal aux outils et informations numériques. C'est pourquoi, en cette journée internationale de la fille, l'IPPFAR renouvelle son engagement et appelle les gouvernements à investir dans la technologie numérique afin que les adolescentes et les jeunes filles d'Afrique puissent facilement accéder à des informations précises et de qualité sur leur santé sexuelle et reproductive et qu'elles soient en mesure de prendre des décisions éclairées sur leur corps et leur avenir. Par Marie-Evelyne Petrus-Barry et Monica Mwai Marie-Evelyne Petrus-Barry est la Directrice régionale de la Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) et Monica Mwai est une jeune stagiaire au sein de l'équipe de communication d’IPPFAR. La Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'un des principaux fournisseurs de services de santé sexuelle et reproductive de qualité en Afrique et une voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Pour plus d'informations sur le travail de l'IPPF Région Afrique, suivez-nous sur Facebook, Instagram, You Tube et Twitter.

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| 13 January 2022

"Let’s talk about sex baby!": Répondre aux besoins des adolescentes et des jeunes femmes en Afrique à l'ère du numérique

Dans le monde numérique d'aujourd'hui, tout est disponible en ligne: les informations, les produits et les services. Avec un taux de pénétration de la téléphonie mobile en Afrique sub-saharienne de 44%, 22% de la population africaine accède dorénavant au monde entier en cliquant simplement sur un bouton. De plus, l'Union africaine et le Groupe de la Banque mondiale se sont engagés à connecter chaque individu, entreprise et gouvernement africain d'ici 2030. Et alors que 60% de la population africaine est âgée de moins de 25 ans, on peut voir cette jeunesse africaine dans les rues de Nairobi, Accra ou Johannesburg, tapoter frénétiquement sur leurs smartphones, utilisant cette technologie numérique, facilement accessible, pour se divertir et s'instruire. Souvent, et sans surprise, cette quête de connaissances est centrée sur le sexe. Ce phénomène a cependant eu un impact moins important sur les filles et les jeunes femmes africaines, qui restent prisonnières de tabous et de normes sociales, incapables d'accéder en ligne à des informations précises sur la santé et les droits sexuels et reproductifs. L'écart entre les sexes en matière de téléphonie mobile signifie que seules deux femmes sur trois en Afrique possèdent un téléphone portable et qu'un tiers seulement utilise régulièrement des données mobiles. Les pratiques culturelles rétrogrades et les normes patriarcales endémiques, notamment le mariage précoce, l'excision, la purification sexuelle et l'héritage des femmes, continent de les exposer à d'innombrables risques. Les IST, le VIH, les violences sexuelles liées au genre et les grossesses chez les adolescentes sont monnaie courante; et les complications liées à la grossesse et à l'accouchement restent la principale cause de décès chez les filles âgées de 15 à 19 ans dans le monde. Cette situation s'est accentuée pendant la pandémie de COVID-19, qui a exacerbé les vulnérabilités des filles et des femmes. Aujourd'hui, alors que nous commémorons la Journée internationale de la fille, centrée sur la "génération numérique", nous souhaitons attirer l'attention sur les "droits" des filles et les défis uniques auxquels elles sont confrontées dans le monde. Le Mouvement d’Action des Jeunes de la Fédération internationale pour la planification familiale (IPPF) - une plateforme de plaidoyer dirigée par des pairs pour les jeunes âgés de 10 à 24 ans - nous montre chaque jour comment l'espace technologique croissant permet lentement aux adolescentes et aux jeunes femmes d'accéder aux appareils numériques et de rechercher des informations sur leur corps, la menstruation, la prévention de la grossesse, le consentement, l'amour, le plaisir, les relations, la contraception et l'avortement sans risque. C’est pourquoi au Nigeria, la Fédération Nigériane du Planning Familial (PPFN) – l’une des 33 Associations Membres  de la Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) - a commencé à fournir des services de santé sexuelle et reproductive aux jeunes en utilisant plusieurs plateformes numériques, notamment les SMS, Facebook, WhatsApp, Instagram, Twitter, Zoom et des appels téléphoniques directs. Ces plateformes offrent des informations précises, interactives, en direct, des sessions éducatives, des consultations individuelles et des orientations personnalisées. Les jeunes peuvent également consulter le site web Youth Connect (https://youthconnect.ppfn.org ) et l'application e-Health du PPFN, tous deux conçus par des jeunes. Au Bénin, l'Association Béninoise pour la Promotion de la Famille a introduit des sessions d'éducation sexuelle complète (ESC) en ligne, en réponse à la fermeture des écoles, basées sur le cadre de l'IPPF pour l'ESC avec des modules sur le genre, la santé sexuelle et reproductive, le VIH, les droits et la citoyenneté sexuels, le plaisir, la violence, la diversité et les relations. Au Togo, l'Association Togolaise pour le Bien-Etre Familial a lancé "InfoAdoJeunes", une application multifonctionnelle développée pour et par les jeunes, qui fournit des informations essentielles sur la santé sexuelle et reproductive de manière amusante et attrayante. L’application comporte 8 onglets de navigation sur l'éducation sexuelle, le cycle menstruel, la contraception, la téléconsultation, la web TV, les jeux et quiz, un forum de discussion et un onglet où les utilisateurs peuvent poser des questions à un expert en temps réel. Ces initiatives se révèlent très efficaces et les réactions, en particulier celles des jeunes femmes et des jeunes filles, sont très positives! L'accès en ligne rapide, opportun et privé aux informations et aux consultations sur la santé sexuelle y est amusant, pratique, sans jugement et confidentiel. Tout le monde y gagne! Nous faisons écho à l'UNFPA: Pour s'assurer un avenir égalitaire, les filles doivent avoir un accès égal aux outils et informations numériques. C'est pourquoi, en cette journée internationale de la fille, l'IPPFAR renouvelle son engagement et appelle les gouvernements à investir dans la technologie numérique afin que les adolescentes et les jeunes filles d'Afrique puissent facilement accéder à des informations précises et de qualité sur leur santé sexuelle et reproductive et qu'elles soient en mesure de prendre des décisions éclairées sur leur corps et leur avenir. Par Marie-Evelyne Petrus-Barry et Monica Mwai Marie-Evelyne Petrus-Barry est la Directrice régionale de la Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) et Monica Mwai est une jeune stagiaire au sein de l'équipe de communication d’IPPFAR. La Fédération internationale pour la planification familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'un des principaux fournisseurs de services de santé sexuelle et reproductive de qualité en Afrique et une voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Pour plus d'informations sur le travail de l'IPPF Région Afrique, suivez-nous sur Facebook, Instagram, You Tube et Twitter.

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| 13 January 2022

“Let’s talk about sex baby”: Responding to the Needs of Adolescent Girls and Young Women in Africa in the Digital Age

In todays’ digital world, everything is available online. Information, products, and services. 22% of the African population, can access the world at the click of a button and mobile penetration rate in Sub-Saharan Africa is at 44%. The African Union and the World Bank Group have committed to connecting every African individual, business, and government by 2030. 60% of Africa’s population is <25 years. The young Africans can be seen on the streets of Nairobi, Accra, and Johannesburg, swiping left and right, using this readily available digital technology for entertainment, education, and learning. Often, and unsurprisingly, this pursuit for knowledge is centered around sex. This phenomenon has though had a less impressive impact on African girls and young women, who continue to be trapped by taboos and restrictive gender and social norms, unable to access accurate sexual and reproductive health and rights information online. The Mobile Gender Gap means only two out of three women in Africa own a mobile phone, and only a third use mobile data regularly. Retrogressive cultural practices and patriarchal norms though are endemic including early marriage, female genital cutting, sexual cleansing, and wife inheritance, exposing them to innumerable risks. STIs, HIV, gender-based sexual violence and teenage pregnancies are commonplace; and complications from pregnancy and childbirth complications remain the leading cause of death among girls aged 15–19 years globally. Today, as we commemorate the International Day of the Girl Child centered on the ‘Digital Generation’ we want to call attention to the rights’ of the girl child and the unique challenges they face globally. IPPFs Youth Action Movement, a peer-led advocacy platform for young people aged 10-24 years, is showing us how the growing technological space is slowly permitting adolescent girls and young women to access digital devices and seek information about their bodies, menstruation, pregnancy prevention, peer pressure, love, pleasure, relationships, contraception and safe abortion. This became more pronounced during the COVID-19 pandemic, which exacerbated the vulnerabilities of girls and women. In Nigeria, the Planned Parenthood of Nigeria  – began delivering sexual reproductive health services using several digital and online platforms including: Short Message Service (SMS), Facebook, WhatsApp, Instagram, Twitter, Zoom and direct telephone calls. These platforms offered accurate, live interactive information and educational sessions, one-to-one consultations and respective referrals. Young people are additionally reached through the Youth Connect website (https://youthconnect.ppfn.org) and ‘The PPFN e-Health App’ which were both co-designed by young people. In Benin, the Association Béninoise pour la Promotion de la Famille introduced online comprehensive sexuality educations sessions, in response to school closures, based on the IPPF’s Framework for CSE: gender, sexual and reproductive health and HIV, sexual rights and sexual citizenship, pleasure, violence, diversity and relationships. In Togo, the Association Togolaise pour le Bien-Etre Familial launched ‘InfoAdoJeunes’, a multi-functional app that was developed for and by young people, providing critical information about sexual and reproductive health in a fun and engaging manner. The 8 navigation tabs: sexuality education, the menstrual cycle, teleconsultation, web TV, games and quizzes, a chat forum, contraception, and a tab where users can ask an experts questions in real-time. These initiatives are proving to be very successful, and feedback, in particular from the young women and girls, has been very positive! Quick, timely, private, online access to information and consultations around sexual health is fun, convenient, non-judgemental and protects their privacy. A win-win all around! We echo UNFPA: To secure an equal future, girls need equal access to digital tools and information. This is why, on this international day of the Girl Child, IPPF’s renews its commitment and call on governments and support to invest in digital technology to ensure adolescents and young girls in Africa can easily access high-quality, accurate information around their sexual and reproductive health and are empowered to make informed decisions about their bodies and their futures. Marie-Evelyne Petrus-Barry is the Regional Director of the International Planned Parenthood Federation, Africa Region (IPPFAR) and Monica Mwai is a Youth Intern within the Communications Team. By Marie-Evelyne Petrus-Barry and Monica Mwai The International Planned Parenthood Federation Africa Region (IPPFAR) is one of the leading providers of quality sexual and reproductive health (SRH) services in Africa and a sexual and reproductive health and rights (SRHR) advocacy voice in the region. For more updates on our work, follow IPPF Africa Region on Facebook, Twitter, Instagram and You Tube.

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| 13 January 2022

“Let’s talk about sex baby”: Responding to the Needs of Adolescent Girls and Young Women in Africa in the Digital Age

In todays’ digital world, everything is available online. Information, products, and services. 22% of the African population, can access the world at the click of a button and mobile penetration rate in Sub-Saharan Africa is at 44%. The African Union and the World Bank Group have committed to connecting every African individual, business, and government by 2030. 60% of Africa’s population is <25 years. The young Africans can be seen on the streets of Nairobi, Accra, and Johannesburg, swiping left and right, using this readily available digital technology for entertainment, education, and learning. Often, and unsurprisingly, this pursuit for knowledge is centered around sex. This phenomenon has though had a less impressive impact on African girls and young women, who continue to be trapped by taboos and restrictive gender and social norms, unable to access accurate sexual and reproductive health and rights information online. The Mobile Gender Gap means only two out of three women in Africa own a mobile phone, and only a third use mobile data regularly. Retrogressive cultural practices and patriarchal norms though are endemic including early marriage, female genital cutting, sexual cleansing, and wife inheritance, exposing them to innumerable risks. STIs, HIV, gender-based sexual violence and teenage pregnancies are commonplace; and complications from pregnancy and childbirth complications remain the leading cause of death among girls aged 15–19 years globally. Today, as we commemorate the International Day of the Girl Child centered on the ‘Digital Generation’ we want to call attention to the rights’ of the girl child and the unique challenges they face globally. IPPFs Youth Action Movement, a peer-led advocacy platform for young people aged 10-24 years, is showing us how the growing technological space is slowly permitting adolescent girls and young women to access digital devices and seek information about their bodies, menstruation, pregnancy prevention, peer pressure, love, pleasure, relationships, contraception and safe abortion. This became more pronounced during the COVID-19 pandemic, which exacerbated the vulnerabilities of girls and women. In Nigeria, the Planned Parenthood of Nigeria  – began delivering sexual reproductive health services using several digital and online platforms including: Short Message Service (SMS), Facebook, WhatsApp, Instagram, Twitter, Zoom and direct telephone calls. These platforms offered accurate, live interactive information and educational sessions, one-to-one consultations and respective referrals. Young people are additionally reached through the Youth Connect website (https://youthconnect.ppfn.org) and ‘The PPFN e-Health App’ which were both co-designed by young people. In Benin, the Association Béninoise pour la Promotion de la Famille introduced online comprehensive sexuality educations sessions, in response to school closures, based on the IPPF’s Framework for CSE: gender, sexual and reproductive health and HIV, sexual rights and sexual citizenship, pleasure, violence, diversity and relationships. In Togo, the Association Togolaise pour le Bien-Etre Familial launched ‘InfoAdoJeunes’, a multi-functional app that was developed for and by young people, providing critical information about sexual and reproductive health in a fun and engaging manner. The 8 navigation tabs: sexuality education, the menstrual cycle, teleconsultation, web TV, games and quizzes, a chat forum, contraception, and a tab where users can ask an experts questions in real-time. These initiatives are proving to be very successful, and feedback, in particular from the young women and girls, has been very positive! Quick, timely, private, online access to information and consultations around sexual health is fun, convenient, non-judgemental and protects their privacy. A win-win all around! We echo UNFPA: To secure an equal future, girls need equal access to digital tools and information. This is why, on this international day of the Girl Child, IPPF’s renews its commitment and call on governments and support to invest in digital technology to ensure adolescents and young girls in Africa can easily access high-quality, accurate information around their sexual and reproductive health and are empowered to make informed decisions about their bodies and their futures. Marie-Evelyne Petrus-Barry is the Regional Director of the International Planned Parenthood Federation, Africa Region (IPPFAR) and Monica Mwai is a Youth Intern within the Communications Team. By Marie-Evelyne Petrus-Barry and Monica Mwai The International Planned Parenthood Federation Africa Region (IPPFAR) is one of the leading providers of quality sexual and reproductive health (SRH) services in Africa and a sexual and reproductive health and rights (SRHR) advocacy voice in the region. For more updates on our work, follow IPPF Africa Region on Facebook, Twitter, Instagram and You Tube.

YOUTH
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| 13 January 2022

Africa Youth Month: Taking Stock of Africa’s Commitments to Young People

It is now slightly more than 15 years since the Assembly of the Heads of States of the African Union adopted the Africa Youth Charter in Banjul, The Gambia. Although this Charter provides a strategic framework towards consolidating an approach for the enforcement of meaningful youth involvement in Africa's development agenda, the ideals of this Charter are yet to be realized by young people in their diversities.  Indeed, Africa's development agenda must be linked to the health and well-being of its young people. The United Nations World Population Prospects has documented an incremental growth in young people between the ages of 15 – 24 in Africa since 1952 and this growth has continued to escalate throughout the years. The report also projects that by 2030, over half of the countries in Africa will have more than a 40 per cent increase in the number of young people. These figures demonstrate the need for more meaningful engagement of young people who will be the driving force behind the continent's development agenda.  The sexual and reproductive health and rights (SRHR) of young people in Africa is an agenda that requires a thorough reflection and a particular prioritization by all stakeholders. Young people's sexual and reproductive health needs are most often overlooked due to a myriad of factors, including customs and taboos which impede their access to contraceptives, parental or spousal consent legislations, Sexual and Reproductive Health (SRH) services that are inadequate or ill-adapted to cater to the diversity of needs of young people. In addition, adolescents and young people lack information on menstrual hygiene, different types of STIs, contraception, prevention of sexual violence, among other topics. Yet this information is vital in enabling them to make informed decisions and equiping them with skills they need to fully enjoy their SRHR. This problematic situation has been worsened by the COVID-19 pandemic, which has exacerbated the vulnerability of young people, with many exposed to sexual and gender-based violence, sexual exploitation, and as well as the closure of clinics and other emergency support services. As many school closed, adolescent girls and young women have been particularly affected and teenage pregnancies have risen as a result of sexual violence and a lack of information on SRH education.     Consequently, this year, as the African Union dedicates the month of November to celebrate Africa’s Youth under the theme " Defining the Future Today: Youth-Led Solutions for Building the Africa We Want”, it is essential that the continent reflects and acts on its commitment towards young people as highlighted in its development agenda 2063 and specifically in the Africa Youth Charter. Young people in Africa are not vulnerable, but they are made vulnerable when they are not involved, heard, engaged, allowed to lead, able to share their ideas of where they want to see the continent in the following years and provided with the knowledge and information necessary to make their own choices and to determine their destiny, particularly concerning their sexual and reproductive health and rights.    Africa is not short of young people who can lead, provide the change we want, and support advancing Africa's development agenda. In Ghana, the Youth Action Movement (YAM), a nationwide network of young people leading and promoting young people's SRHR, has defined itself as a movement by and for Ghanaian youth. The movement’s advocacy on SRHR information and services and young people has led to an increase in young people taking leadership positions, campaigning and  engaging the government on sexual and reproductive health. The YAM has advocated for a positive change in access to youth friendly services at the community level. This has led to an increase in the number of clinics providing youth-friendly SRHR services in Ghana. The movement has also complemented government efforts by providing SRHR information and services to the general population, particularly adolescents, women, men and vulnerable groups, including persons living with a disability. The YAM is also actively involved in linking young people to services through the outreach programme organized by the Planned Parenthood Association of Ghana programme entitled "YENKASA", meaning ‘let's talk’ in local Twi language. Since its establishment in 2020, the contact center has responded to the SRHR needs and challenges of thousands of young people in Ghana.   The youth in Africa continue to demonstrate that they are capable and ready to be entrusted drivers and partners in Africa’s development agenda, including in the field of SRHR. It is now for Africa’s leaders and institutions to give them the trust and the space that they have strived for and earned.   Anita Nyanjong is the Global Lead, Youth at International Planned Parenthood Federation (IPPF).  Claudia Lawson is the Youth Action Movement (YAM) President, Ghana.

YOUTH
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| 13 January 2022

Africa Youth Month: Taking Stock of Africa’s Commitments to Young People

It is now slightly more than 15 years since the Assembly of the Heads of States of the African Union adopted the Africa Youth Charter in Banjul, The Gambia. Although this Charter provides a strategic framework towards consolidating an approach for the enforcement of meaningful youth involvement in Africa's development agenda, the ideals of this Charter are yet to be realized by young people in their diversities.  Indeed, Africa's development agenda must be linked to the health and well-being of its young people. The United Nations World Population Prospects has documented an incremental growth in young people between the ages of 15 – 24 in Africa since 1952 and this growth has continued to escalate throughout the years. The report also projects that by 2030, over half of the countries in Africa will have more than a 40 per cent increase in the number of young people. These figures demonstrate the need for more meaningful engagement of young people who will be the driving force behind the continent's development agenda.  The sexual and reproductive health and rights (SRHR) of young people in Africa is an agenda that requires a thorough reflection and a particular prioritization by all stakeholders. Young people's sexual and reproductive health needs are most often overlooked due to a myriad of factors, including customs and taboos which impede their access to contraceptives, parental or spousal consent legislations, Sexual and Reproductive Health (SRH) services that are inadequate or ill-adapted to cater to the diversity of needs of young people. In addition, adolescents and young people lack information on menstrual hygiene, different types of STIs, contraception, prevention of sexual violence, among other topics. Yet this information is vital in enabling them to make informed decisions and equiping them with skills they need to fully enjoy their SRHR. This problematic situation has been worsened by the COVID-19 pandemic, which has exacerbated the vulnerability of young people, with many exposed to sexual and gender-based violence, sexual exploitation, and as well as the closure of clinics and other emergency support services. As many school closed, adolescent girls and young women have been particularly affected and teenage pregnancies have risen as a result of sexual violence and a lack of information on SRH education.     Consequently, this year, as the African Union dedicates the month of November to celebrate Africa’s Youth under the theme " Defining the Future Today: Youth-Led Solutions for Building the Africa We Want”, it is essential that the continent reflects and acts on its commitment towards young people as highlighted in its development agenda 2063 and specifically in the Africa Youth Charter. Young people in Africa are not vulnerable, but they are made vulnerable when they are not involved, heard, engaged, allowed to lead, able to share their ideas of where they want to see the continent in the following years and provided with the knowledge and information necessary to make their own choices and to determine their destiny, particularly concerning their sexual and reproductive health and rights.    Africa is not short of young people who can lead, provide the change we want, and support advancing Africa's development agenda. In Ghana, the Youth Action Movement (YAM), a nationwide network of young people leading and promoting young people's SRHR, has defined itself as a movement by and for Ghanaian youth. The movement’s advocacy on SRHR information and services and young people has led to an increase in young people taking leadership positions, campaigning and  engaging the government on sexual and reproductive health. The YAM has advocated for a positive change in access to youth friendly services at the community level. This has led to an increase in the number of clinics providing youth-friendly SRHR services in Ghana. The movement has also complemented government efforts by providing SRHR information and services to the general population, particularly adolescents, women, men and vulnerable groups, including persons living with a disability. The YAM is also actively involved in linking young people to services through the outreach programme organized by the Planned Parenthood Association of Ghana programme entitled "YENKASA", meaning ‘let's talk’ in local Twi language. Since its establishment in 2020, the contact center has responded to the SRHR needs and challenges of thousands of young people in Ghana.   The youth in Africa continue to demonstrate that they are capable and ready to be entrusted drivers and partners in Africa’s development agenda, including in the field of SRHR. It is now for Africa’s leaders and institutions to give them the trust and the space that they have strived for and earned.   Anita Nyanjong is the Global Lead, Youth at International Planned Parenthood Federation (IPPF).  Claudia Lawson is the Youth Action Movement (YAM) President, Ghana.

NIGER
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| 13 January 2022

Sommet des filles africaines 2021: l’IPPF réaffirme son engagement dans la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles.

La Directrice régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) Afrique a activement pris part au au Sommet des filles Africaines à Niamey, au Niger, du 16 au 18 Novembre 2021.  Organisé par la Commission de l’Union Africaine, le Sommet des filles africaines vise à accélérer la réalisation de leurs droits, notamment l’élimination des pratiques néfastes - dont la mutilation génitale féminine, le mariage précoce ou encore le bandages des seins - mais aussi leurs droits à l’éducation et à la santé sexuelle et reproductive. Il s’agit du troisième sommet sur ce thème, la première édition s’étant tenue à Lusaka en Zambie du 26 au 27 Novembre 2015 et le 2ème sommet à Accra au Ghana du 21 au 24 Novembre 2018. Durant la cérémonie d’ouverture, la représentante de l’Envoyée spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies sur les questions de violences contre les enfants, Mme Najat Maalla M’Jid, a partagé un message fort : « nous devons garder à l’esprit que les enfants et les jeunes d’Afrique représentent un capital, constituent la source la plus riche d’Afrique, avec une population qui ne cesse d'accroître et qui devrait atteindre 830 millions d’ici 2050». Dans son allocution, le Chef d’Etat du Niger, Mohamed Bazoum a, quant à lui, affirmé que la thématique du sommet confirme « l’engagement des pays africains à œuvrer solidairement pour le développement humain sur le continent en s’appuyant en particulier sur les femmes et les jeunes ». Selon lui, « Nous avons donc, à travers cette rencontre, l’occasion d’analyser, de suivre et de mieux orienter les actions de nos Etats en matière de protection des droits humains des filles qui constituent une frange importante de la population de nos pays ». L’IPPF a pour sa part marqué sa participation à travers l’intervention de la Directrice régionale pour l’Afrique, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry lors de deux panels, consacrés respectivement aux thèmes: "L’impact de la COVID-19 sur les femmes et les filles: une réponse intégrée" et "Les jeunes s'engagent auprès des États membres pour mettre fin aux pratiques néfastes". Lors de ces échanges, la directrice régionale a réaffirmé « l’engagement de l’IPPF à poursuivre la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles, de protéger leurs droits et de garantir la fourniture et l'accès aux services et aux informations nécessaires à la protection de leur santé et de leur bien-être ».  Elle a tenu a souligner l’impact dévastateur des pratiques néfastes sur la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles, ainsi que sur leur santé mentale et psychosociale: “Les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants sont tous deux liés à des taux élevés de mortalité maternelle et à un faible recours à la planification familiale amenant à des grossesses non désirées. Ils privent les femmes de la possibilité d'être éduquées, de devenir des êtres imaginatifs, novateurs et créatifs, de s'ouvrir à de nouvelles possibilités et de profiter, elles et leurs familles, de tous les avantages qu'apporte un emploi décent”.  Elle a également relevé le travail abattu par ses associations membres en matière d’innovation et de capacité de résilience face aux défis de la COVID-19 . « Elles ont, entre autres, développé simultanément la télémédecine, le porte-à-porte et leurs cliniques mobiles pour répondre aux besoins des femmes confinées en matière de SSR, numérisé l'éducation sexuelle pour les jeunes privés d’école, etc. »  Elle a enfin tenu à célébrer l’action des jeunes et à les remercier pour leurs actions en faveur des droits sexuels et reproductifs sur le continent: “Merci jeunes femmes et jeunes hommes, merci pour tout ce que vous faites aujourd’hui, et pour les nombreuses choses que vous allez encore accomplir. Je vous adresse ma grande admiration et je pense que je parle au nom de nombreuses personnes de mon âge lorsque je dis que nous vous admirons et que nous sommes prêts à recevoir votre enseignement”.  Il est du devoir de l’IPPF d’appuyer les jeunes, notamment les jeunes femmes et filles, et de leur apporter tout le soutien dont ils ont besoin pour concrétiser et mettre en action leurs engagements collectifs en faveur des droits sexuels et reproductifs. L’IPPF est et restera à leurs côtés. 

NIGER
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| 18 November 2021

Sommet des filles africaines 2021: l’IPPF réaffirme son engagement dans la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles.

La Directrice régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) Afrique a activement pris part au au Sommet des filles Africaines à Niamey, au Niger, du 16 au 18 Novembre 2021.  Organisé par la Commission de l’Union Africaine, le Sommet des filles africaines vise à accélérer la réalisation de leurs droits, notamment l’élimination des pratiques néfastes - dont la mutilation génitale féminine, le mariage précoce ou encore le bandages des seins - mais aussi leurs droits à l’éducation et à la santé sexuelle et reproductive. Il s’agit du troisième sommet sur ce thème, la première édition s’étant tenue à Lusaka en Zambie du 26 au 27 Novembre 2015 et le 2ème sommet à Accra au Ghana du 21 au 24 Novembre 2018. Durant la cérémonie d’ouverture, la représentante de l’Envoyée spéciale du Secrétaire Général des Nations Unies sur les questions de violences contre les enfants, Mme Najat Maalla M’Jid, a partagé un message fort : « nous devons garder à l’esprit que les enfants et les jeunes d’Afrique représentent un capital, constituent la source la plus riche d’Afrique, avec une population qui ne cesse d'accroître et qui devrait atteindre 830 millions d’ici 2050». Dans son allocution, le Chef d’Etat du Niger, Mohamed Bazoum a, quant à lui, affirmé que la thématique du sommet confirme « l’engagement des pays africains à œuvrer solidairement pour le développement humain sur le continent en s’appuyant en particulier sur les femmes et les jeunes ». Selon lui, « Nous avons donc, à travers cette rencontre, l’occasion d’analyser, de suivre et de mieux orienter les actions de nos Etats en matière de protection des droits humains des filles qui constituent une frange importante de la population de nos pays ». L’IPPF a pour sa part marqué sa participation à travers l’intervention de la Directrice régionale pour l’Afrique, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry lors de deux panels, consacrés respectivement aux thèmes: "L’impact de la COVID-19 sur les femmes et les filles: une réponse intégrée" et "Les jeunes s'engagent auprès des États membres pour mettre fin aux pratiques néfastes". Lors de ces échanges, la directrice régionale a réaffirmé « l’engagement de l’IPPF à poursuivre la lutte contre toute forme de violence à l'égard des femmes et des filles, de protéger leurs droits et de garantir la fourniture et l'accès aux services et aux informations nécessaires à la protection de leur santé et de leur bien-être ».  Elle a tenu a souligner l’impact dévastateur des pratiques néfastes sur la santé sexuelle et reproductive des femmes et des filles, ainsi que sur leur santé mentale et psychosociale: “Les mutilations génitales féminines et les mariages d'enfants sont tous deux liés à des taux élevés de mortalité maternelle et à un faible recours à la planification familiale amenant à des grossesses non désirées. Ils privent les femmes de la possibilité d'être éduquées, de devenir des êtres imaginatifs, novateurs et créatifs, de s'ouvrir à de nouvelles possibilités et de profiter, elles et leurs familles, de tous les avantages qu'apporte un emploi décent”.  Elle a également relevé le travail abattu par ses associations membres en matière d’innovation et de capacité de résilience face aux défis de la COVID-19 . « Elles ont, entre autres, développé simultanément la télémédecine, le porte-à-porte et leurs cliniques mobiles pour répondre aux besoins des femmes confinées en matière de SSR, numérisé l'éducation sexuelle pour les jeunes privés d’école, etc. »  Elle a enfin tenu à célébrer l’action des jeunes et à les remercier pour leurs actions en faveur des droits sexuels et reproductifs sur le continent: “Merci jeunes femmes et jeunes hommes, merci pour tout ce que vous faites aujourd’hui, et pour les nombreuses choses que vous allez encore accomplir. Je vous adresse ma grande admiration et je pense que je parle au nom de nombreuses personnes de mon âge lorsque je dis que nous vous admirons et que nous sommes prêts à recevoir votre enseignement”.  Il est du devoir de l’IPPF d’appuyer les jeunes, notamment les jeunes femmes et filles, et de leur apporter tout le soutien dont ils ont besoin pour concrétiser et mettre en action leurs engagements collectifs en faveur des droits sexuels et reproductifs. L’IPPF est et restera à leurs côtés. 

IPPF EN CI
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| 13 January 2022

Ancrage de l’IPPF en l’Afrique de l’Ouest et du Centre : les autorités ivoiriennes donnent leur accord pour l’ouverture d’un bureau sous régional de l’IPPF en Côte d’Ivoire

Abidjan le 10 novembre 2021 – Du 02 au 10 novembre 2021, une mission de haut niveau du bureau régional Afrique de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) a séjourné en Côte d’Ivoire. Conduite par sa directrice régionale, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry, l’objectif principal de la mission était de rencontrer les autorités ivoiriennes et d’aborder la question du projet d’ouverture d’un bureau sous-régional pour l'Afrique de l'Ouest et du centre à Abidjan. En ouvrant ce nouveau bureau, l’IPPF ambitionne de mieux servir ses associations membres, notamment celles des pays francophones d'Afrique de l'Ouest et du Centre, et de répondre à la volonté croissante des bailleurs de fonds de financer des projets et programmes dans cette région. Le Bureau régional de l’IPPF, basé à Nairobi (Kenya), est une organisation internationale de droits humains centrée sur la planification familiale et la santé de la reproduction. Elle est présente dans 39 pays de la région de l’Afrique subsaharienne, dont la Côte d’Ivoire, par le biais d’associations membres opérant localement. Elle représente le plus grand réseau d’associations dédiées aux droits des femmes et de la planification familiale en Afrique. En Côte d’Ivoire, l’Association Ivoirienne pour le Bien-Être Familial (AIBEF) est l’association membre de l’IPPF. En compagnie des responsables de l’AIBEF, la délégation de l’IPPF a rencontré successivement le Ministre Délégué auprès du Ministre d’État, Ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora; M. Alcide DJEDJE ; la Ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, Mme Myss Belmonde DOGO ; la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Mme Nassénéba TOURÉ ; la Ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora, Mme Kandia KAMISSOKO CAMARA et enfin, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, M. Patrick Jérôme ACHI. Les échanges ont permis à la délégation de présenter le mandat de l’IPPF, ses résultats en Afrique et de solliciter formellement un accord de siège pour le futur bureau sous régional de l’IPPF. Les officiels ivoiriens ont salué le travail de l’IPPF en matière de santé sexuelle et reproductive et exprimé leur enthousiasme à accueillir le nouveau bureau de l’organisation dans le pays. Un accord de principe a été donné par la Ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora, Mme Kandia KAMISSOKO CAMARA et le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, M. Patrick Jérôme ACHI en attendant que les différentes équipes s’attellent à la formalisation des étapes administratives d’installation du nouveau bureau.

IPPF EN CI
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| 11 November 2021

Ancrage de l’IPPF en l’Afrique de l’Ouest et du Centre : les autorités ivoiriennes donnent leur accord pour l’ouverture d’un bureau sous régional de l’IPPF en Côte d’Ivoire

Abidjan le 10 novembre 2021 – Du 02 au 10 novembre 2021, une mission de haut niveau du bureau régional Afrique de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale (IPPF) a séjourné en Côte d’Ivoire. Conduite par sa directrice régionale, Mme Marie-Evelyne Pétrus-Barry, l’objectif principal de la mission était de rencontrer les autorités ivoiriennes et d’aborder la question du projet d’ouverture d’un bureau sous-régional pour l'Afrique de l'Ouest et du centre à Abidjan. En ouvrant ce nouveau bureau, l’IPPF ambitionne de mieux servir ses associations membres, notamment celles des pays francophones d'Afrique de l'Ouest et du Centre, et de répondre à la volonté croissante des bailleurs de fonds de financer des projets et programmes dans cette région. Le Bureau régional de l’IPPF, basé à Nairobi (Kenya), est une organisation internationale de droits humains centrée sur la planification familiale et la santé de la reproduction. Elle est présente dans 39 pays de la région de l’Afrique subsaharienne, dont la Côte d’Ivoire, par le biais d’associations membres opérant localement. Elle représente le plus grand réseau d’associations dédiées aux droits des femmes et de la planification familiale en Afrique. En Côte d’Ivoire, l’Association Ivoirienne pour le Bien-Être Familial (AIBEF) est l’association membre de l’IPPF. En compagnie des responsables de l’AIBEF, la délégation de l’IPPF a rencontré successivement le Ministre Délégué auprès du Ministre d’État, Ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora; M. Alcide DJEDJE ; la Ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, Mme Myss Belmonde DOGO ; la Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Mme Nassénéba TOURÉ ; la Ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora, Mme Kandia KAMISSOKO CAMARA et enfin, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, M. Patrick Jérôme ACHI. Les échanges ont permis à la délégation de présenter le mandat de l’IPPF, ses résultats en Afrique et de solliciter formellement un accord de siège pour le futur bureau sous régional de l’IPPF. Les officiels ivoiriens ont salué le travail de l’IPPF en matière de santé sexuelle et reproductive et exprimé leur enthousiasme à accueillir le nouveau bureau de l’organisation dans le pays. Un accord de principe a été donné par la Ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration Africaine et de la Diaspora, Mme Kandia KAMISSOKO CAMARA et le Premier Ministre, Chef du Gouvernement, M. Patrick Jérôme ACHI en attendant que les différentes équipes s’attellent à la formalisation des étapes administratives d’installation du nouveau bureau.