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IPPF/Tommy Trenchard

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A selection of resources from across the Federation

IPPF Regions' Achievements in 2023

Africa

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Africa's Health Champions: IPPF Regions' Achievements in 2023

IPPF Africa Region has released its 2023 achievements video highlighting impactful work across the continent this past year. The 2-minute video gives a snapshot of IPPF's support for expanding access to family planning, advancing sexual and reproductive health rights through advocacy, supporting gender, equality, providing comprehensive sexuality education for youth, increasing access to safe abortion care, and eliminating harmful practices.
Header factsheet
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| 04 August 2021

About IPPF Africa Region (IPPFAR Profile)

Click on the attachments (above) to download the IPPFAR factsheet in both English and French.

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| 04 August 2021

About IPPF Africa Region (IPPFAR Profile)

Click on the attachments (above) to download the IPPFAR factsheet in both English and French.

	Panos
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| 28 July 2021

Abortion Quality of Care from the Client Perspective: a Qualitative Study in India and Kenya

Quality healthcare is a key part of people’s right to health and dignity, yet access to high-quality care can be limited by legal, social and economic contexts. There is limited consensus on what domains constitute quality in abortion care and the opinions of people seeking abortion have little representation in current abortion quality measures. In this qualitative study, we conducted 45 interviews with abortion clients in Mumbai, India, and in Eldoret and Thika, Kenya, to assess experiences with abortion care, definitions of quality and priorities for high-quality abortion care.

	Panos
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| 28 July 2021

Abortion Quality of Care from the Client Perspective: a Qualitative Study in India and Kenya

Quality healthcare is a key part of people’s right to health and dignity, yet access to high-quality care can be limited by legal, social and economic contexts. There is limited consensus on what domains constitute quality in abortion care and the opinions of people seeking abortion have little representation in current abortion quality measures. In this qualitative study, we conducted 45 interviews with abortion clients in Mumbai, India, and in Eldoret and Thika, Kenya, to assess experiences with abortion care, definitions of quality and priorities for high-quality abortion care.

Yes is yes and no is no
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| 15 July 2021

Let your yes be yes, and your no be no

Consent is about actively and enthusiastically agreeing to be sexual with someone. Before being sexual with someone, you need to know if they want to be sexual with you too – and that sex is wanted. Consent is never implied by things like your past behavior, what you wear, or where you go. It is always communicated clearly. This is an International Planned Parenthood Africa Region original video on sexual consent produced by Dr. Aproko from Nigeria in partnership with the Planned Parenthood Federation of Nigeria. 

Yes is yes and no is no
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| 15 July 2021

Let your yes be yes, and your no be no

Consent is about actively and enthusiastically agreeing to be sexual with someone. Before being sexual with someone, you need to know if they want to be sexual with you too – and that sex is wanted. Consent is never implied by things like your past behavior, what you wear, or where you go. It is always communicated clearly. This is an International Planned Parenthood Africa Region original video on sexual consent produced by Dr. Aproko from Nigeria in partnership with the Planned Parenthood Federation of Nigeria. 

Une clinique mobile à Sao Tomé
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| 13 July 2021

Adapter les services de planification familiale en temps de crise : Une clinique mobile à Sao Tomé

Un an après le début de la pandémie de la COVID-19, l’accès aux méthodes modernes de contraception a été perturbé pour près de 12 millions de femmes, ce qui a entraîné 1,4 million de grossesses non désirées en raison des mesures de confinement et de restriction des déplacements, de l’interruption des chaînes d’approvisionnement, des ruptures de stock et de la saturation des établissements de santé. Sao Tomé-et-Principe, comme la plupart des pays du monde, a imposé des mesures restrictives pour freiner la propagation de la pandémie. Ces mesures comprenaient des restrictions de mouvement, des confinements et des couvre-feux, qui ont considérablement limité l’accès de la population aux établissements de santé, notamment aux services essentiels de santé sexuelle et reproductive (SSR). Cela a été particulièrement difficile pour un petit pays comme Sao Tomé-et-Principe, dont la population est estimée à 223 364 habitants et dont le taux de fécondité est élevé (93 naissances pour 1 000 jeunes femmes âgées de 15 à 19 ans)[1]. Les populations les plus durement touchées à Sao Tomé-et-Principe pendant la pandémie de la COVID-19 étaient les populations les plus vulnérables n’ayant accès à aucune structure de santé, et qui, même en l’absence de pandémies et d’autres calamités, sont déjà pénalisées par un accès limité à des services de santé reproductive de qualité. Ces populations comprennent les femmes et les filles, les jeunes, les travailleurs du sexe, les personnes qui utilisent des drogues, les communautés transgenres, les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), les personnes vivant avec le VIH et les communautés de pêcheurs. La COVID-19 a également augmenté le risque et l’incidence des cas de violence sexuelle et sexiste, principalement contre les femmes et les filles, augmentant ainsi leur vulnérabilité. Outre les restrictions liées à la COVID-19, l’accès limité aux services de santé sexuelle et reproductive est également dû à un manque de compréhension et à la réticence des professionnels de santé à fournir des services par peur des infections, à la fermeture de certains établissements de santé dans les communautés, et à la baisse des revenus des familles, ce qui signifie que les populations ont un pouvoir d’achat très faible pour prendre en charge des soins de santé. Face à cette situation, l’Associação Santomense para Promoção Familiar (ASPF), l’association membre de l’IPPF dans le pays, en étroite collaboration avec ses partenaires, ses volontaires, ses pairs éducateurs et ses agents de santé communautaires, a intensifié son « approche de clinique mobile » pour desservir les populations les plus vulnérables et les plus difficiles à atteindre directement dans leurs communautés. Télécharger le document complet ici: Une clinique mobile à Sao Tomé     [1] Partenariat mondial pour l’éducation, 2020

Une clinique mobile à Sao Tomé
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| 13 July 2021

Adapter les services de planification familiale en temps de crise : Une clinique mobile à Sao Tomé

Un an après le début de la pandémie de la COVID-19, l’accès aux méthodes modernes de contraception a été perturbé pour près de 12 millions de femmes, ce qui a entraîné 1,4 million de grossesses non désirées en raison des mesures de confinement et de restriction des déplacements, de l’interruption des chaînes d’approvisionnement, des ruptures de stock et de la saturation des établissements de santé. Sao Tomé-et-Principe, comme la plupart des pays du monde, a imposé des mesures restrictives pour freiner la propagation de la pandémie. Ces mesures comprenaient des restrictions de mouvement, des confinements et des couvre-feux, qui ont considérablement limité l’accès de la population aux établissements de santé, notamment aux services essentiels de santé sexuelle et reproductive (SSR). Cela a été particulièrement difficile pour un petit pays comme Sao Tomé-et-Principe, dont la population est estimée à 223 364 habitants et dont le taux de fécondité est élevé (93 naissances pour 1 000 jeunes femmes âgées de 15 à 19 ans)[1]. Les populations les plus durement touchées à Sao Tomé-et-Principe pendant la pandémie de la COVID-19 étaient les populations les plus vulnérables n’ayant accès à aucune structure de santé, et qui, même en l’absence de pandémies et d’autres calamités, sont déjà pénalisées par un accès limité à des services de santé reproductive de qualité. Ces populations comprennent les femmes et les filles, les jeunes, les travailleurs du sexe, les personnes qui utilisent des drogues, les communautés transgenres, les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), les personnes vivant avec le VIH et les communautés de pêcheurs. La COVID-19 a également augmenté le risque et l’incidence des cas de violence sexuelle et sexiste, principalement contre les femmes et les filles, augmentant ainsi leur vulnérabilité. Outre les restrictions liées à la COVID-19, l’accès limité aux services de santé sexuelle et reproductive est également dû à un manque de compréhension et à la réticence des professionnels de santé à fournir des services par peur des infections, à la fermeture de certains établissements de santé dans les communautés, et à la baisse des revenus des familles, ce qui signifie que les populations ont un pouvoir d’achat très faible pour prendre en charge des soins de santé. Face à cette situation, l’Associação Santomense para Promoção Familiar (ASPF), l’association membre de l’IPPF dans le pays, en étroite collaboration avec ses partenaires, ses volontaires, ses pairs éducateurs et ses agents de santé communautaires, a intensifié son « approche de clinique mobile » pour desservir les populations les plus vulnérables et les plus difficiles à atteindre directement dans leurs communautés. Télécharger le document complet ici: Une clinique mobile à Sao Tomé     [1] Partenariat mondial pour l’éducation, 2020

The Right Here Right Now (RNHR) evaluation report
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| 12 July 2021

The Right Here Right Now (RNHR) Evaluation Report

The Right Here Right Now (RHRN) programme (2016-2020) -a strategic partnership between Rutgers (consortium lead), the Asian-Pacific Resource and Research Centre for Women (ARROW), CHOICE for Youth and Sexuality (CHOICE), Dance4life, HIVOS, International Planned Parenthood Federation African Region (IPPF AR), the Latin American and Caribbean Women’s Health Network (LACWHN) and the Netherlands Ministry of Foreign Affairs. The programme is implemented in 10 low- and middle-income countries in Africa (Kenya, Uganda, Zimbabwe, Senegal), Asia (Bangladesh, Indonesia, Nepal, Pakistan), Latin America (Bolivia, Honduras), and 1 sub-region (the Caribbean). At the end of the 5-year programme, Rutgers, as the lead of the RHRN partnership, commissioned an end-term evaluation. In this report, the external evaluation team presents the evaluation methodology, findings, conclusions and recommendations. Read more about the RHRH programme in this report here:  The Right Here Right Now (RNHR) evaluation report

The Right Here Right Now (RNHR) evaluation report
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| 12 July 2021

The Right Here Right Now (RNHR) Evaluation Report

The Right Here Right Now (RHRN) programme (2016-2020) -a strategic partnership between Rutgers (consortium lead), the Asian-Pacific Resource and Research Centre for Women (ARROW), CHOICE for Youth and Sexuality (CHOICE), Dance4life, HIVOS, International Planned Parenthood Federation African Region (IPPF AR), the Latin American and Caribbean Women’s Health Network (LACWHN) and the Netherlands Ministry of Foreign Affairs. The programme is implemented in 10 low- and middle-income countries in Africa (Kenya, Uganda, Zimbabwe, Senegal), Asia (Bangladesh, Indonesia, Nepal, Pakistan), Latin America (Bolivia, Honduras), and 1 sub-region (the Caribbean). At the end of the 5-year programme, Rutgers, as the lead of the RHRN partnership, commissioned an end-term evaluation. In this report, the external evaluation team presents the evaluation methodology, findings, conclusions and recommendations. Read more about the RHRH programme in this report here:  The Right Here Right Now (RNHR) evaluation report

Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin
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| 09 July 2021

Adapter les services de planification familiale en temps de crise : Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin

L’épidémie de la COVID-19 a provoqué la plus grande perturbation des systèmes éducatifs de l’histoire. Les fermetures d’écoles et d’autres espaces d’apprentissage ont eu un impact sur 94 % de la population étudiante mondiale, dont 99 % dans les pays à revenu faible ou de la tranche inférieure du niveau intermédiaire[1]. L’UNESCO a estimé en juillet 2020 qu’environ 24 millions d’apprenants, du niveau préprimaire au niveau universitaire, risquaient de ne pas retourner à l’école en raison des bouleversements causés par la COVID-19. Les mesures restrictives visant à minimiser la propagation du virus mortel de la COVID-19 ont rendu encore plus difficile l’accès des jeunes aux services essentiels de santé et de droits sexuels et reproductifs (SDSR), notamment l’éducation sexuelle complète (ESC) et la contraception. Cette population de jeunes est donc plus exposée aux grossesses précoces, aux avortements à risque, aux violences sexistes, aux infections sexuellement transmissibles (IST) et au VIH, ce qui rend encore plus urgent leur accès à l’éducation sexuelle et aux services extrascolaires.  En effet, 64,4 % de la population béninoise est âgée de moins de 25 ans. Grâce aux efforts de plaidoyer de notre association membre — l’Association béninoise pour la promotion de la famille (ABPF) — et d’autres organisations, l’ESC est incluse dans le programme scolaire du secondaire depuis 2018, cependant, elle n’est dispensée que dans quelques écoles pilotes et n’inclut pas les questions de diversité et d’épanouissement sexuel. En réponse à la situation difficile engendrée par la COVID-19, l’ABPF a développé des sessions d’ESC en ligne pendant la pandémie, afin de permettre aux adolescents et aux jeunes d’avoir un accès continu à l’ESC. Télécharger le document complet ici: Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin   [1] https://www.un.org/development/desa/dspd/wp-content/uploads/sites/22/2020/08/sg_policy_brief_covid-19_and_education_august_2020.pdf

Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin
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| 09 July 2021

Adapter les services de planification familiale en temps de crise : Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin

L’épidémie de la COVID-19 a provoqué la plus grande perturbation des systèmes éducatifs de l’histoire. Les fermetures d’écoles et d’autres espaces d’apprentissage ont eu un impact sur 94 % de la population étudiante mondiale, dont 99 % dans les pays à revenu faible ou de la tranche inférieure du niveau intermédiaire[1]. L’UNESCO a estimé en juillet 2020 qu’environ 24 millions d’apprenants, du niveau préprimaire au niveau universitaire, risquaient de ne pas retourner à l’école en raison des bouleversements causés par la COVID-19. Les mesures restrictives visant à minimiser la propagation du virus mortel de la COVID-19 ont rendu encore plus difficile l’accès des jeunes aux services essentiels de santé et de droits sexuels et reproductifs (SDSR), notamment l’éducation sexuelle complète (ESC) et la contraception. Cette population de jeunes est donc plus exposée aux grossesses précoces, aux avortements à risque, aux violences sexistes, aux infections sexuellement transmissibles (IST) et au VIH, ce qui rend encore plus urgent leur accès à l’éducation sexuelle et aux services extrascolaires.  En effet, 64,4 % de la population béninoise est âgée de moins de 25 ans. Grâce aux efforts de plaidoyer de notre association membre — l’Association béninoise pour la promotion de la famille (ABPF) — et d’autres organisations, l’ESC est incluse dans le programme scolaire du secondaire depuis 2018, cependant, elle n’est dispensée que dans quelques écoles pilotes et n’inclut pas les questions de diversité et d’épanouissement sexuel. En réponse à la situation difficile engendrée par la COVID-19, l’ABPF a développé des sessions d’ESC en ligne pendant la pandémie, afin de permettre aux adolescents et aux jeunes d’avoir un accès continu à l’ESC. Télécharger le document complet ici: Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin   [1] https://www.un.org/development/desa/dspd/wp-content/uploads/sites/22/2020/08/sg_policy_brief_covid-19_and_education_august_2020.pdf

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| 04 August 2021

About IPPF Africa Region (IPPFAR Profile)

Click on the attachments (above) to download the IPPFAR factsheet in both English and French.

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| 04 August 2021

About IPPF Africa Region (IPPFAR Profile)

Click on the attachments (above) to download the IPPFAR factsheet in both English and French.

	Panos
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| 28 July 2021

Abortion Quality of Care from the Client Perspective: a Qualitative Study in India and Kenya

Quality healthcare is a key part of people’s right to health and dignity, yet access to high-quality care can be limited by legal, social and economic contexts. There is limited consensus on what domains constitute quality in abortion care and the opinions of people seeking abortion have little representation in current abortion quality measures. In this qualitative study, we conducted 45 interviews with abortion clients in Mumbai, India, and in Eldoret and Thika, Kenya, to assess experiences with abortion care, definitions of quality and priorities for high-quality abortion care.

	Panos
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| 28 July 2021

Abortion Quality of Care from the Client Perspective: a Qualitative Study in India and Kenya

Quality healthcare is a key part of people’s right to health and dignity, yet access to high-quality care can be limited by legal, social and economic contexts. There is limited consensus on what domains constitute quality in abortion care and the opinions of people seeking abortion have little representation in current abortion quality measures. In this qualitative study, we conducted 45 interviews with abortion clients in Mumbai, India, and in Eldoret and Thika, Kenya, to assess experiences with abortion care, definitions of quality and priorities for high-quality abortion care.

Yes is yes and no is no
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| 15 July 2021

Let your yes be yes, and your no be no

Consent is about actively and enthusiastically agreeing to be sexual with someone. Before being sexual with someone, you need to know if they want to be sexual with you too – and that sex is wanted. Consent is never implied by things like your past behavior, what you wear, or where you go. It is always communicated clearly. This is an International Planned Parenthood Africa Region original video on sexual consent produced by Dr. Aproko from Nigeria in partnership with the Planned Parenthood Federation of Nigeria. 

Yes is yes and no is no
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| 15 July 2021

Let your yes be yes, and your no be no

Consent is about actively and enthusiastically agreeing to be sexual with someone. Before being sexual with someone, you need to know if they want to be sexual with you too – and that sex is wanted. Consent is never implied by things like your past behavior, what you wear, or where you go. It is always communicated clearly. This is an International Planned Parenthood Africa Region original video on sexual consent produced by Dr. Aproko from Nigeria in partnership with the Planned Parenthood Federation of Nigeria. 

Une clinique mobile à Sao Tomé
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| 13 July 2021

Adapter les services de planification familiale en temps de crise : Une clinique mobile à Sao Tomé

Un an après le début de la pandémie de la COVID-19, l’accès aux méthodes modernes de contraception a été perturbé pour près de 12 millions de femmes, ce qui a entraîné 1,4 million de grossesses non désirées en raison des mesures de confinement et de restriction des déplacements, de l’interruption des chaînes d’approvisionnement, des ruptures de stock et de la saturation des établissements de santé. Sao Tomé-et-Principe, comme la plupart des pays du monde, a imposé des mesures restrictives pour freiner la propagation de la pandémie. Ces mesures comprenaient des restrictions de mouvement, des confinements et des couvre-feux, qui ont considérablement limité l’accès de la population aux établissements de santé, notamment aux services essentiels de santé sexuelle et reproductive (SSR). Cela a été particulièrement difficile pour un petit pays comme Sao Tomé-et-Principe, dont la population est estimée à 223 364 habitants et dont le taux de fécondité est élevé (93 naissances pour 1 000 jeunes femmes âgées de 15 à 19 ans)[1]. Les populations les plus durement touchées à Sao Tomé-et-Principe pendant la pandémie de la COVID-19 étaient les populations les plus vulnérables n’ayant accès à aucune structure de santé, et qui, même en l’absence de pandémies et d’autres calamités, sont déjà pénalisées par un accès limité à des services de santé reproductive de qualité. Ces populations comprennent les femmes et les filles, les jeunes, les travailleurs du sexe, les personnes qui utilisent des drogues, les communautés transgenres, les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), les personnes vivant avec le VIH et les communautés de pêcheurs. La COVID-19 a également augmenté le risque et l’incidence des cas de violence sexuelle et sexiste, principalement contre les femmes et les filles, augmentant ainsi leur vulnérabilité. Outre les restrictions liées à la COVID-19, l’accès limité aux services de santé sexuelle et reproductive est également dû à un manque de compréhension et à la réticence des professionnels de santé à fournir des services par peur des infections, à la fermeture de certains établissements de santé dans les communautés, et à la baisse des revenus des familles, ce qui signifie que les populations ont un pouvoir d’achat très faible pour prendre en charge des soins de santé. Face à cette situation, l’Associação Santomense para Promoção Familiar (ASPF), l’association membre de l’IPPF dans le pays, en étroite collaboration avec ses partenaires, ses volontaires, ses pairs éducateurs et ses agents de santé communautaires, a intensifié son « approche de clinique mobile » pour desservir les populations les plus vulnérables et les plus difficiles à atteindre directement dans leurs communautés. Télécharger le document complet ici: Une clinique mobile à Sao Tomé     [1] Partenariat mondial pour l’éducation, 2020

Une clinique mobile à Sao Tomé
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| 13 July 2021

Adapter les services de planification familiale en temps de crise : Une clinique mobile à Sao Tomé

Un an après le début de la pandémie de la COVID-19, l’accès aux méthodes modernes de contraception a été perturbé pour près de 12 millions de femmes, ce qui a entraîné 1,4 million de grossesses non désirées en raison des mesures de confinement et de restriction des déplacements, de l’interruption des chaînes d’approvisionnement, des ruptures de stock et de la saturation des établissements de santé. Sao Tomé-et-Principe, comme la plupart des pays du monde, a imposé des mesures restrictives pour freiner la propagation de la pandémie. Ces mesures comprenaient des restrictions de mouvement, des confinements et des couvre-feux, qui ont considérablement limité l’accès de la population aux établissements de santé, notamment aux services essentiels de santé sexuelle et reproductive (SSR). Cela a été particulièrement difficile pour un petit pays comme Sao Tomé-et-Principe, dont la population est estimée à 223 364 habitants et dont le taux de fécondité est élevé (93 naissances pour 1 000 jeunes femmes âgées de 15 à 19 ans)[1]. Les populations les plus durement touchées à Sao Tomé-et-Principe pendant la pandémie de la COVID-19 étaient les populations les plus vulnérables n’ayant accès à aucune structure de santé, et qui, même en l’absence de pandémies et d’autres calamités, sont déjà pénalisées par un accès limité à des services de santé reproductive de qualité. Ces populations comprennent les femmes et les filles, les jeunes, les travailleurs du sexe, les personnes qui utilisent des drogues, les communautés transgenres, les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH), les personnes vivant avec le VIH et les communautés de pêcheurs. La COVID-19 a également augmenté le risque et l’incidence des cas de violence sexuelle et sexiste, principalement contre les femmes et les filles, augmentant ainsi leur vulnérabilité. Outre les restrictions liées à la COVID-19, l’accès limité aux services de santé sexuelle et reproductive est également dû à un manque de compréhension et à la réticence des professionnels de santé à fournir des services par peur des infections, à la fermeture de certains établissements de santé dans les communautés, et à la baisse des revenus des familles, ce qui signifie que les populations ont un pouvoir d’achat très faible pour prendre en charge des soins de santé. Face à cette situation, l’Associação Santomense para Promoção Familiar (ASPF), l’association membre de l’IPPF dans le pays, en étroite collaboration avec ses partenaires, ses volontaires, ses pairs éducateurs et ses agents de santé communautaires, a intensifié son « approche de clinique mobile » pour desservir les populations les plus vulnérables et les plus difficiles à atteindre directement dans leurs communautés. Télécharger le document complet ici: Une clinique mobile à Sao Tomé     [1] Partenariat mondial pour l’éducation, 2020

The Right Here Right Now (RNHR) evaluation report
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| 12 July 2021

The Right Here Right Now (RNHR) Evaluation Report

The Right Here Right Now (RHRN) programme (2016-2020) -a strategic partnership between Rutgers (consortium lead), the Asian-Pacific Resource and Research Centre for Women (ARROW), CHOICE for Youth and Sexuality (CHOICE), Dance4life, HIVOS, International Planned Parenthood Federation African Region (IPPF AR), the Latin American and Caribbean Women’s Health Network (LACWHN) and the Netherlands Ministry of Foreign Affairs. The programme is implemented in 10 low- and middle-income countries in Africa (Kenya, Uganda, Zimbabwe, Senegal), Asia (Bangladesh, Indonesia, Nepal, Pakistan), Latin America (Bolivia, Honduras), and 1 sub-region (the Caribbean). At the end of the 5-year programme, Rutgers, as the lead of the RHRN partnership, commissioned an end-term evaluation. In this report, the external evaluation team presents the evaluation methodology, findings, conclusions and recommendations. Read more about the RHRH programme in this report here:  The Right Here Right Now (RNHR) evaluation report

The Right Here Right Now (RNHR) evaluation report
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| 12 July 2021

The Right Here Right Now (RNHR) Evaluation Report

The Right Here Right Now (RHRN) programme (2016-2020) -a strategic partnership between Rutgers (consortium lead), the Asian-Pacific Resource and Research Centre for Women (ARROW), CHOICE for Youth and Sexuality (CHOICE), Dance4life, HIVOS, International Planned Parenthood Federation African Region (IPPF AR), the Latin American and Caribbean Women’s Health Network (LACWHN) and the Netherlands Ministry of Foreign Affairs. The programme is implemented in 10 low- and middle-income countries in Africa (Kenya, Uganda, Zimbabwe, Senegal), Asia (Bangladesh, Indonesia, Nepal, Pakistan), Latin America (Bolivia, Honduras), and 1 sub-region (the Caribbean). At the end of the 5-year programme, Rutgers, as the lead of the RHRN partnership, commissioned an end-term evaluation. In this report, the external evaluation team presents the evaluation methodology, findings, conclusions and recommendations. Read more about the RHRH programme in this report here:  The Right Here Right Now (RNHR) evaluation report

Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin
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| 09 July 2021

Adapter les services de planification familiale en temps de crise : Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin

L’épidémie de la COVID-19 a provoqué la plus grande perturbation des systèmes éducatifs de l’histoire. Les fermetures d’écoles et d’autres espaces d’apprentissage ont eu un impact sur 94 % de la population étudiante mondiale, dont 99 % dans les pays à revenu faible ou de la tranche inférieure du niveau intermédiaire[1]. L’UNESCO a estimé en juillet 2020 qu’environ 24 millions d’apprenants, du niveau préprimaire au niveau universitaire, risquaient de ne pas retourner à l’école en raison des bouleversements causés par la COVID-19. Les mesures restrictives visant à minimiser la propagation du virus mortel de la COVID-19 ont rendu encore plus difficile l’accès des jeunes aux services essentiels de santé et de droits sexuels et reproductifs (SDSR), notamment l’éducation sexuelle complète (ESC) et la contraception. Cette population de jeunes est donc plus exposée aux grossesses précoces, aux avortements à risque, aux violences sexistes, aux infections sexuellement transmissibles (IST) et au VIH, ce qui rend encore plus urgent leur accès à l’éducation sexuelle et aux services extrascolaires.  En effet, 64,4 % de la population béninoise est âgée de moins de 25 ans. Grâce aux efforts de plaidoyer de notre association membre — l’Association béninoise pour la promotion de la famille (ABPF) — et d’autres organisations, l’ESC est incluse dans le programme scolaire du secondaire depuis 2018, cependant, elle n’est dispensée que dans quelques écoles pilotes et n’inclut pas les questions de diversité et d’épanouissement sexuel. En réponse à la situation difficile engendrée par la COVID-19, l’ABPF a développé des sessions d’ESC en ligne pendant la pandémie, afin de permettre aux adolescents et aux jeunes d’avoir un accès continu à l’ESC. Télécharger le document complet ici: Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin   [1] https://www.un.org/development/desa/dspd/wp-content/uploads/sites/22/2020/08/sg_policy_brief_covid-19_and_education_august_2020.pdf

Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin
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| 09 July 2021

Adapter les services de planification familiale en temps de crise : Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin

L’épidémie de la COVID-19 a provoqué la plus grande perturbation des systèmes éducatifs de l’histoire. Les fermetures d’écoles et d’autres espaces d’apprentissage ont eu un impact sur 94 % de la population étudiante mondiale, dont 99 % dans les pays à revenu faible ou de la tranche inférieure du niveau intermédiaire[1]. L’UNESCO a estimé en juillet 2020 qu’environ 24 millions d’apprenants, du niveau préprimaire au niveau universitaire, risquaient de ne pas retourner à l’école en raison des bouleversements causés par la COVID-19. Les mesures restrictives visant à minimiser la propagation du virus mortel de la COVID-19 ont rendu encore plus difficile l’accès des jeunes aux services essentiels de santé et de droits sexuels et reproductifs (SDSR), notamment l’éducation sexuelle complète (ESC) et la contraception. Cette population de jeunes est donc plus exposée aux grossesses précoces, aux avortements à risque, aux violences sexistes, aux infections sexuellement transmissibles (IST) et au VIH, ce qui rend encore plus urgent leur accès à l’éducation sexuelle et aux services extrascolaires.  En effet, 64,4 % de la population béninoise est âgée de moins de 25 ans. Grâce aux efforts de plaidoyer de notre association membre — l’Association béninoise pour la promotion de la famille (ABPF) — et d’autres organisations, l’ESC est incluse dans le programme scolaire du secondaire depuis 2018, cependant, elle n’est dispensée que dans quelques écoles pilotes et n’inclut pas les questions de diversité et d’épanouissement sexuel. En réponse à la situation difficile engendrée par la COVID-19, l’ABPF a développé des sessions d’ESC en ligne pendant la pandémie, afin de permettre aux adolescents et aux jeunes d’avoir un accès continu à l’ESC. Télécharger le document complet ici: Offre d’une éducation sexuelle complète en ligne au Bénin   [1] https://www.un.org/development/desa/dspd/wp-content/uploads/sites/22/2020/08/sg_policy_brief_covid-19_and_education_august_2020.pdf