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Camilo Jimenez

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Statement DRC

Congo, Dem. Rep.

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La RDC : IPPFAR appelle à une désescalade immédiate du conflit, à l'établissement d'un corridor humanitaire et à la protection des femmes et des filles

Nairobi, Kenya : 5 février 2025 - La Fédération internationale pour la planification familiale région Afrique (IPPFAR) appelle à une désescalade immédiate du conflit dans la région Est de la République démocratique du Congo (RDC) et à la mise en place immédiate de corridors humanitaires pour assurer un accès sans entrave à l'aide humanitaire, y compris aux services de santé et de droits sexuels et reproductifs (SDSR).
Communiqué visuel
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| 04 July 2024

Sénégal : L'IPPFAR appelle le gouvernement à respecter ses obligations en vertu du Protocole de Maputo suite à la publication d'un communiqué de presse

Sénégal : L'IPPFAR appelle le gouvernement à respecter ses obligations en vertu du Protocole de Maputo suite à la publication d'un communiqué de presse  4 juillet 2024, Nairobi, Kenya : Le 8 juin 2024, le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal a publié une déclaration intitulée « Sur les dangers des avortements provoqués ».  Bien que le Ministère de la Santé du Sénégal ait raison de mettre en garde ses citoyens contre les dangers des avortements non sécurisés, nous sommes préoccupés par l’utilisation, de manière interchangeable, des termes « avortements provoqués », « avortements clandestins », et « avortements non sécurisés » dans cette déclaration.  Le code pénal sénégalais interdit complètement l'interruption de grossesse, tandis que le code de déontologie médicale autorise l'avortement si trois médecins conviennent que cela est nécessaire pour sauver la vie de la femme. De telles lois restrictives conduisent à des avortements clandestins, tandis que les avortements non sécurisés désignent des interventions réalisées par des prestataires non qualifiés et de manière non conforme aux directives de l'OMS.  « L’IPPF Afrique réitère que les avortements sont une procédure médicale sécurisée lorsqu'ils sont réalisés par un prestataire formé ou lorsque les personnes ont accès à des médicaments de haute qualité, à des informations et à un soutien adéquat pour effectuer un avortement médical en toute sécurité », a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice régionale de l’IPPF Afrique.  La déclaration du gouvernement montre clairement sa préoccupation pour la santé et le bien-être des femmes et des filles. Par conséquent, l'IPPFAR exhorte le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal à reconnaître que sans accès à des soins d'avortement sûrs, les femmes continueront à souffrir et à recourir à des alternatives dangereuses pour leur vie.  Restreindre légalement l'avortement ne réduit pas les taux d'avortement. Au contraire, cela augmente les taux d'avortements non sécurisés et les risques associés, y compris des taux élevés de mortalité maternelle, ce qui va à l'encontre des objectifs du gouvernement sénégalais, comme indiqué dans son communiqué de presse.  L'accès à des services d'avortement sécurisés est ancré dans les cadres juridiques internationaux et les normes soutenues par les principes fondamentaux des droits humains.  « Nous encourageons le gouvernement sénégalais à renouveler son engagement envers ses obligations en vertu du Protocole de Maputo qu'il a ratifié en 2005, en particulier l'Article 14(2)(c), qui stipule que les États doivent protéger les droits reproductifs des femmes, y compris en permettant légalement l'avortement dans les cas d'agression sexuelle, de viol, d'inceste, et lorsque la poursuite de la grossesse met en danger la santé mentale ou physique de la femme enceinte, ou la vie de la femme enceinte ou du fœtus », a ajouté Marie-Evelyne Petrus-Barry.  L'accès à l'avortement légal et sécurisé réduit la mortalité maternelle évitable. L'IPPF Afrique soutient l'appel des organisation locales de la société civile à briser les stéréotypes autour de l'avortement tout en fournissant des informations précises basées sur la santé.    FIN   Pour obtenir plus d’informations ou organiser une interview, veuillez prendre contact avec : Mahmoud GARGA, Spécialiste - Communication stratégique, Relations avec les médias et Campagnes digitales, Bureau de la région Afrique de la Fédération Internationale Pour la Planification Familiale (IPPFAR) – courriel : [email protected] / téléphone : +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne.   Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique.   Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et YouTube.  

Communiqué visuel
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| 04 July 2024

Sénégal : L'IPPFAR appelle le gouvernement à respecter ses obligations en vertu du Protocole de Maputo suite à la publication d'un communiqué de presse

Sénégal : L'IPPFAR appelle le gouvernement à respecter ses obligations en vertu du Protocole de Maputo suite à la publication d'un communiqué de presse  4 juillet 2024, Nairobi, Kenya : Le 8 juin 2024, le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal a publié une déclaration intitulée « Sur les dangers des avortements provoqués ».  Bien que le Ministère de la Santé du Sénégal ait raison de mettre en garde ses citoyens contre les dangers des avortements non sécurisés, nous sommes préoccupés par l’utilisation, de manière interchangeable, des termes « avortements provoqués », « avortements clandestins », et « avortements non sécurisés » dans cette déclaration.  Le code pénal sénégalais interdit complètement l'interruption de grossesse, tandis que le code de déontologie médicale autorise l'avortement si trois médecins conviennent que cela est nécessaire pour sauver la vie de la femme. De telles lois restrictives conduisent à des avortements clandestins, tandis que les avortements non sécurisés désignent des interventions réalisées par des prestataires non qualifiés et de manière non conforme aux directives de l'OMS.  « L’IPPF Afrique réitère que les avortements sont une procédure médicale sécurisée lorsqu'ils sont réalisés par un prestataire formé ou lorsque les personnes ont accès à des médicaments de haute qualité, à des informations et à un soutien adéquat pour effectuer un avortement médical en toute sécurité », a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice régionale de l’IPPF Afrique.  La déclaration du gouvernement montre clairement sa préoccupation pour la santé et le bien-être des femmes et des filles. Par conséquent, l'IPPFAR exhorte le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal à reconnaître que sans accès à des soins d'avortement sûrs, les femmes continueront à souffrir et à recourir à des alternatives dangereuses pour leur vie.  Restreindre légalement l'avortement ne réduit pas les taux d'avortement. Au contraire, cela augmente les taux d'avortements non sécurisés et les risques associés, y compris des taux élevés de mortalité maternelle, ce qui va à l'encontre des objectifs du gouvernement sénégalais, comme indiqué dans son communiqué de presse.  L'accès à des services d'avortement sécurisés est ancré dans les cadres juridiques internationaux et les normes soutenues par les principes fondamentaux des droits humains.  « Nous encourageons le gouvernement sénégalais à renouveler son engagement envers ses obligations en vertu du Protocole de Maputo qu'il a ratifié en 2005, en particulier l'Article 14(2)(c), qui stipule que les États doivent protéger les droits reproductifs des femmes, y compris en permettant légalement l'avortement dans les cas d'agression sexuelle, de viol, d'inceste, et lorsque la poursuite de la grossesse met en danger la santé mentale ou physique de la femme enceinte, ou la vie de la femme enceinte ou du fœtus », a ajouté Marie-Evelyne Petrus-Barry.  L'accès à l'avortement légal et sécurisé réduit la mortalité maternelle évitable. L'IPPF Afrique soutient l'appel des organisation locales de la société civile à briser les stéréotypes autour de l'avortement tout en fournissant des informations précises basées sur la santé.    FIN   Pour obtenir plus d’informations ou organiser une interview, veuillez prendre contact avec : Mahmoud GARGA, Spécialiste - Communication stratégique, Relations avec les médias et Campagnes digitales, Bureau de la région Afrique de la Fédération Internationale Pour la Planification Familiale (IPPFAR) – courriel : [email protected] / téléphone : +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne.   Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique.   Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et YouTube.  

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| 26 June 2022

La Cour suprême des États-Unis annule le jugement Roe v. Wade: un coup sans précédent porté à la santé et aux droits des femmes.

  Nairobi - 25 juin 2022 - La décision de la Cour suprême des États-Unis d'annuler la décision historique Roe V Wade sur l'avortement entraînera une interdiction totale ou quasi totale des soins liés à l'avortement dans environ 26 États des États-Unis d'Amérique. Cette décision n'affecte pas seulement les États-Unis car elle aura sans aucun doute un impact négatif dans le monde entier. L'annulation de l'arrêt Roe v. Wade est le plus grand coup porté à la santé et aux droits des femmes dans l'histoire récente des États-Unis. Elle supprime 50 ans d'avortement sûr et légal aux États-Unis et remet la vie de millions de femmes, de jeunes filles et de personnes de sexe divers entre les mains des législateurs des États - dont beaucoup sont des extrémistes conservateurs misogynes et anti-liberté reproductive. En poursuivant cette attaque contre le corps des femmes et en les forçant à mener des grossesses à terme, la plus haute juridiction des États-Unis a touché le fond, privant des millions de personnes de leur autonomie corporelle et de leur liberté - les valeurs mêmes dont les États-Unis sont fiers. Cette décision est également en décalage avec le peuple américain, dont la majorité est favorable à l'accès aux soins en matière d'avortement. "Les retombées de cette décision calculée se répercuteront également dans le monde entier, encourageant d'autres mouvements anti-avortement, misogynes et anti-liberté reproductive. Les juges qui ont fait passer leurs croyances personnelles avant la volonté, les précédents et la loi américaine auront bientôt du sang sur les mains, et nous ne pouvons que déplorer l’impact que ce jugement cruel aura sur des millions de personnes", a déclaré le Dr Alvaro Bermejo, Directeur de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale. "Nous savons, de par notre expérience en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs, que les groupes extrémistes et les législateurs opposés à l'égalité des sexes se battent au quotidien pour contrôler le corps des femmes et des filles. Ces groupes font de la politique avec l'intégrité corporelle des femmes et des filles, en niant les résultats scientifiques et en contestant les preuves bien fondées selon lesquelles l'interdiction de l'avortement n'empêche pas les femmes de choisir cette procédure, mais les oblige seulement à se tourner vers des alternatives potentiellement dangereuses. Ces groupes obligent également les prestataires de soins de santé à choisir entre sauver la vie d'une femme et s'exposer à des poursuites pénales. Il n'y a pas de prévention de l'avortement, il n'y a que l'interdiction d'un avortement sûr", a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice Régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR).  Elle également ajouté : "Alors que les États-Unis peuvent régresser et reculer sur les droits humains des femmes et des filles, nous nous tournons maintenant vers d'autres pays, notamment le Bénin et le Kenya, qui ont récemment affirmé leur engagement à protéger et à réaliser les droits des femmes et des filles à accéder à des soins d'avortement sûrs. Ces pays mènent maintenant la charge, et nous, en tant que défenseurs des droits reproductifs dans le monde, devons continuer à travailler sans relâche pour faire de ces droits une réalité, tout en les maintenant et en les développant."  FIN Contacts médias : Mahmoud Garga, Spécialiste Communication stratégique, Relations Médias et Campagnes Digitales, Bureau régional de l'IPPF pour l'Afrique (IPPFARO) - email : [email protected]  - +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne. Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique. Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et You Tube.

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| 01 June 2025

La Cour suprême des États-Unis annule le jugement Roe v. Wade: un coup sans précédent porté à la santé et aux droits des femmes.

  Nairobi - 25 juin 2022 - La décision de la Cour suprême des États-Unis d'annuler la décision historique Roe V Wade sur l'avortement entraînera une interdiction totale ou quasi totale des soins liés à l'avortement dans environ 26 États des États-Unis d'Amérique. Cette décision n'affecte pas seulement les États-Unis car elle aura sans aucun doute un impact négatif dans le monde entier. L'annulation de l'arrêt Roe v. Wade est le plus grand coup porté à la santé et aux droits des femmes dans l'histoire récente des États-Unis. Elle supprime 50 ans d'avortement sûr et légal aux États-Unis et remet la vie de millions de femmes, de jeunes filles et de personnes de sexe divers entre les mains des législateurs des États - dont beaucoup sont des extrémistes conservateurs misogynes et anti-liberté reproductive. En poursuivant cette attaque contre le corps des femmes et en les forçant à mener des grossesses à terme, la plus haute juridiction des États-Unis a touché le fond, privant des millions de personnes de leur autonomie corporelle et de leur liberté - les valeurs mêmes dont les États-Unis sont fiers. Cette décision est également en décalage avec le peuple américain, dont la majorité est favorable à l'accès aux soins en matière d'avortement. "Les retombées de cette décision calculée se répercuteront également dans le monde entier, encourageant d'autres mouvements anti-avortement, misogynes et anti-liberté reproductive. Les juges qui ont fait passer leurs croyances personnelles avant la volonté, les précédents et la loi américaine auront bientôt du sang sur les mains, et nous ne pouvons que déplorer l’impact que ce jugement cruel aura sur des millions de personnes", a déclaré le Dr Alvaro Bermejo, Directeur de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale. "Nous savons, de par notre expérience en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs, que les groupes extrémistes et les législateurs opposés à l'égalité des sexes se battent au quotidien pour contrôler le corps des femmes et des filles. Ces groupes font de la politique avec l'intégrité corporelle des femmes et des filles, en niant les résultats scientifiques et en contestant les preuves bien fondées selon lesquelles l'interdiction de l'avortement n'empêche pas les femmes de choisir cette procédure, mais les oblige seulement à se tourner vers des alternatives potentiellement dangereuses. Ces groupes obligent également les prestataires de soins de santé à choisir entre sauver la vie d'une femme et s'exposer à des poursuites pénales. Il n'y a pas de prévention de l'avortement, il n'y a que l'interdiction d'un avortement sûr", a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice Régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR).  Elle également ajouté : "Alors que les États-Unis peuvent régresser et reculer sur les droits humains des femmes et des filles, nous nous tournons maintenant vers d'autres pays, notamment le Bénin et le Kenya, qui ont récemment affirmé leur engagement à protéger et à réaliser les droits des femmes et des filles à accéder à des soins d'avortement sûrs. Ces pays mènent maintenant la charge, et nous, en tant que défenseurs des droits reproductifs dans le monde, devons continuer à travailler sans relâche pour faire de ces droits une réalité, tout en les maintenant et en les développant."  FIN Contacts médias : Mahmoud Garga, Spécialiste Communication stratégique, Relations Médias et Campagnes Digitales, Bureau régional de l'IPPF pour l'Afrique (IPPFARO) - email : [email protected]  - +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne. Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique. Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et You Tube.

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| 04 July 2024

Sénégal : L'IPPFAR appelle le gouvernement à respecter ses obligations en vertu du Protocole de Maputo suite à la publication d'un communiqué de presse

Sénégal : L'IPPFAR appelle le gouvernement à respecter ses obligations en vertu du Protocole de Maputo suite à la publication d'un communiqué de presse  4 juillet 2024, Nairobi, Kenya : Le 8 juin 2024, le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal a publié une déclaration intitulée « Sur les dangers des avortements provoqués ».  Bien que le Ministère de la Santé du Sénégal ait raison de mettre en garde ses citoyens contre les dangers des avortements non sécurisés, nous sommes préoccupés par l’utilisation, de manière interchangeable, des termes « avortements provoqués », « avortements clandestins », et « avortements non sécurisés » dans cette déclaration.  Le code pénal sénégalais interdit complètement l'interruption de grossesse, tandis que le code de déontologie médicale autorise l'avortement si trois médecins conviennent que cela est nécessaire pour sauver la vie de la femme. De telles lois restrictives conduisent à des avortements clandestins, tandis que les avortements non sécurisés désignent des interventions réalisées par des prestataires non qualifiés et de manière non conforme aux directives de l'OMS.  « L’IPPF Afrique réitère que les avortements sont une procédure médicale sécurisée lorsqu'ils sont réalisés par un prestataire formé ou lorsque les personnes ont accès à des médicaments de haute qualité, à des informations et à un soutien adéquat pour effectuer un avortement médical en toute sécurité », a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice régionale de l’IPPF Afrique.  La déclaration du gouvernement montre clairement sa préoccupation pour la santé et le bien-être des femmes et des filles. Par conséquent, l'IPPFAR exhorte le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal à reconnaître que sans accès à des soins d'avortement sûrs, les femmes continueront à souffrir et à recourir à des alternatives dangereuses pour leur vie.  Restreindre légalement l'avortement ne réduit pas les taux d'avortement. Au contraire, cela augmente les taux d'avortements non sécurisés et les risques associés, y compris des taux élevés de mortalité maternelle, ce qui va à l'encontre des objectifs du gouvernement sénégalais, comme indiqué dans son communiqué de presse.  L'accès à des services d'avortement sécurisés est ancré dans les cadres juridiques internationaux et les normes soutenues par les principes fondamentaux des droits humains.  « Nous encourageons le gouvernement sénégalais à renouveler son engagement envers ses obligations en vertu du Protocole de Maputo qu'il a ratifié en 2005, en particulier l'Article 14(2)(c), qui stipule que les États doivent protéger les droits reproductifs des femmes, y compris en permettant légalement l'avortement dans les cas d'agression sexuelle, de viol, d'inceste, et lorsque la poursuite de la grossesse met en danger la santé mentale ou physique de la femme enceinte, ou la vie de la femme enceinte ou du fœtus », a ajouté Marie-Evelyne Petrus-Barry.  L'accès à l'avortement légal et sécurisé réduit la mortalité maternelle évitable. L'IPPF Afrique soutient l'appel des organisation locales de la société civile à briser les stéréotypes autour de l'avortement tout en fournissant des informations précises basées sur la santé.    FIN   Pour obtenir plus d’informations ou organiser une interview, veuillez prendre contact avec : Mahmoud GARGA, Spécialiste - Communication stratégique, Relations avec les médias et Campagnes digitales, Bureau de la région Afrique de la Fédération Internationale Pour la Planification Familiale (IPPFAR) – courriel : [email protected] / téléphone : +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne.   Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique.   Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et YouTube.  

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| 04 July 2024

Sénégal : L'IPPFAR appelle le gouvernement à respecter ses obligations en vertu du Protocole de Maputo suite à la publication d'un communiqué de presse

Sénégal : L'IPPFAR appelle le gouvernement à respecter ses obligations en vertu du Protocole de Maputo suite à la publication d'un communiqué de presse  4 juillet 2024, Nairobi, Kenya : Le 8 juin 2024, le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal a publié une déclaration intitulée « Sur les dangers des avortements provoqués ».  Bien que le Ministère de la Santé du Sénégal ait raison de mettre en garde ses citoyens contre les dangers des avortements non sécurisés, nous sommes préoccupés par l’utilisation, de manière interchangeable, des termes « avortements provoqués », « avortements clandestins », et « avortements non sécurisés » dans cette déclaration.  Le code pénal sénégalais interdit complètement l'interruption de grossesse, tandis que le code de déontologie médicale autorise l'avortement si trois médecins conviennent que cela est nécessaire pour sauver la vie de la femme. De telles lois restrictives conduisent à des avortements clandestins, tandis que les avortements non sécurisés désignent des interventions réalisées par des prestataires non qualifiés et de manière non conforme aux directives de l'OMS.  « L’IPPF Afrique réitère que les avortements sont une procédure médicale sécurisée lorsqu'ils sont réalisés par un prestataire formé ou lorsque les personnes ont accès à des médicaments de haute qualité, à des informations et à un soutien adéquat pour effectuer un avortement médical en toute sécurité », a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice régionale de l’IPPF Afrique.  La déclaration du gouvernement montre clairement sa préoccupation pour la santé et le bien-être des femmes et des filles. Par conséquent, l'IPPFAR exhorte le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale du Sénégal à reconnaître que sans accès à des soins d'avortement sûrs, les femmes continueront à souffrir et à recourir à des alternatives dangereuses pour leur vie.  Restreindre légalement l'avortement ne réduit pas les taux d'avortement. Au contraire, cela augmente les taux d'avortements non sécurisés et les risques associés, y compris des taux élevés de mortalité maternelle, ce qui va à l'encontre des objectifs du gouvernement sénégalais, comme indiqué dans son communiqué de presse.  L'accès à des services d'avortement sécurisés est ancré dans les cadres juridiques internationaux et les normes soutenues par les principes fondamentaux des droits humains.  « Nous encourageons le gouvernement sénégalais à renouveler son engagement envers ses obligations en vertu du Protocole de Maputo qu'il a ratifié en 2005, en particulier l'Article 14(2)(c), qui stipule que les États doivent protéger les droits reproductifs des femmes, y compris en permettant légalement l'avortement dans les cas d'agression sexuelle, de viol, d'inceste, et lorsque la poursuite de la grossesse met en danger la santé mentale ou physique de la femme enceinte, ou la vie de la femme enceinte ou du fœtus », a ajouté Marie-Evelyne Petrus-Barry.  L'accès à l'avortement légal et sécurisé réduit la mortalité maternelle évitable. L'IPPF Afrique soutient l'appel des organisation locales de la société civile à briser les stéréotypes autour de l'avortement tout en fournissant des informations précises basées sur la santé.    FIN   Pour obtenir plus d’informations ou organiser une interview, veuillez prendre contact avec : Mahmoud GARGA, Spécialiste - Communication stratégique, Relations avec les médias et Campagnes digitales, Bureau de la région Afrique de la Fédération Internationale Pour la Planification Familiale (IPPFAR) – courriel : [email protected] / téléphone : +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne.   Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique.   Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et YouTube.  

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| 26 June 2022

La Cour suprême des États-Unis annule le jugement Roe v. Wade: un coup sans précédent porté à la santé et aux droits des femmes.

  Nairobi - 25 juin 2022 - La décision de la Cour suprême des États-Unis d'annuler la décision historique Roe V Wade sur l'avortement entraînera une interdiction totale ou quasi totale des soins liés à l'avortement dans environ 26 États des États-Unis d'Amérique. Cette décision n'affecte pas seulement les États-Unis car elle aura sans aucun doute un impact négatif dans le monde entier. L'annulation de l'arrêt Roe v. Wade est le plus grand coup porté à la santé et aux droits des femmes dans l'histoire récente des États-Unis. Elle supprime 50 ans d'avortement sûr et légal aux États-Unis et remet la vie de millions de femmes, de jeunes filles et de personnes de sexe divers entre les mains des législateurs des États - dont beaucoup sont des extrémistes conservateurs misogynes et anti-liberté reproductive. En poursuivant cette attaque contre le corps des femmes et en les forçant à mener des grossesses à terme, la plus haute juridiction des États-Unis a touché le fond, privant des millions de personnes de leur autonomie corporelle et de leur liberté - les valeurs mêmes dont les États-Unis sont fiers. Cette décision est également en décalage avec le peuple américain, dont la majorité est favorable à l'accès aux soins en matière d'avortement. "Les retombées de cette décision calculée se répercuteront également dans le monde entier, encourageant d'autres mouvements anti-avortement, misogynes et anti-liberté reproductive. Les juges qui ont fait passer leurs croyances personnelles avant la volonté, les précédents et la loi américaine auront bientôt du sang sur les mains, et nous ne pouvons que déplorer l’impact que ce jugement cruel aura sur des millions de personnes", a déclaré le Dr Alvaro Bermejo, Directeur de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale. "Nous savons, de par notre expérience en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs, que les groupes extrémistes et les législateurs opposés à l'égalité des sexes se battent au quotidien pour contrôler le corps des femmes et des filles. Ces groupes font de la politique avec l'intégrité corporelle des femmes et des filles, en niant les résultats scientifiques et en contestant les preuves bien fondées selon lesquelles l'interdiction de l'avortement n'empêche pas les femmes de choisir cette procédure, mais les oblige seulement à se tourner vers des alternatives potentiellement dangereuses. Ces groupes obligent également les prestataires de soins de santé à choisir entre sauver la vie d'une femme et s'exposer à des poursuites pénales. Il n'y a pas de prévention de l'avortement, il n'y a que l'interdiction d'un avortement sûr", a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice Régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR).  Elle également ajouté : "Alors que les États-Unis peuvent régresser et reculer sur les droits humains des femmes et des filles, nous nous tournons maintenant vers d'autres pays, notamment le Bénin et le Kenya, qui ont récemment affirmé leur engagement à protéger et à réaliser les droits des femmes et des filles à accéder à des soins d'avortement sûrs. Ces pays mènent maintenant la charge, et nous, en tant que défenseurs des droits reproductifs dans le monde, devons continuer à travailler sans relâche pour faire de ces droits une réalité, tout en les maintenant et en les développant."  FIN Contacts médias : Mahmoud Garga, Spécialiste Communication stratégique, Relations Médias et Campagnes Digitales, Bureau régional de l'IPPF pour l'Afrique (IPPFARO) - email : [email protected]  - +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne. Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique. Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et You Tube.

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| 01 June 2025

La Cour suprême des États-Unis annule le jugement Roe v. Wade: un coup sans précédent porté à la santé et aux droits des femmes.

  Nairobi - 25 juin 2022 - La décision de la Cour suprême des États-Unis d'annuler la décision historique Roe V Wade sur l'avortement entraînera une interdiction totale ou quasi totale des soins liés à l'avortement dans environ 26 États des États-Unis d'Amérique. Cette décision n'affecte pas seulement les États-Unis car elle aura sans aucun doute un impact négatif dans le monde entier. L'annulation de l'arrêt Roe v. Wade est le plus grand coup porté à la santé et aux droits des femmes dans l'histoire récente des États-Unis. Elle supprime 50 ans d'avortement sûr et légal aux États-Unis et remet la vie de millions de femmes, de jeunes filles et de personnes de sexe divers entre les mains des législateurs des États - dont beaucoup sont des extrémistes conservateurs misogynes et anti-liberté reproductive. En poursuivant cette attaque contre le corps des femmes et en les forçant à mener des grossesses à terme, la plus haute juridiction des États-Unis a touché le fond, privant des millions de personnes de leur autonomie corporelle et de leur liberté - les valeurs mêmes dont les États-Unis sont fiers. Cette décision est également en décalage avec le peuple américain, dont la majorité est favorable à l'accès aux soins en matière d'avortement. "Les retombées de cette décision calculée se répercuteront également dans le monde entier, encourageant d'autres mouvements anti-avortement, misogynes et anti-liberté reproductive. Les juges qui ont fait passer leurs croyances personnelles avant la volonté, les précédents et la loi américaine auront bientôt du sang sur les mains, et nous ne pouvons que déplorer l’impact que ce jugement cruel aura sur des millions de personnes", a déclaré le Dr Alvaro Bermejo, Directeur de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale. "Nous savons, de par notre expérience en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs, que les groupes extrémistes et les législateurs opposés à l'égalité des sexes se battent au quotidien pour contrôler le corps des femmes et des filles. Ces groupes font de la politique avec l'intégrité corporelle des femmes et des filles, en niant les résultats scientifiques et en contestant les preuves bien fondées selon lesquelles l'interdiction de l'avortement n'empêche pas les femmes de choisir cette procédure, mais les oblige seulement à se tourner vers des alternatives potentiellement dangereuses. Ces groupes obligent également les prestataires de soins de santé à choisir entre sauver la vie d'une femme et s'exposer à des poursuites pénales. Il n'y a pas de prévention de l'avortement, il n'y a que l'interdiction d'un avortement sûr", a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice Régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR).  Elle également ajouté : "Alors que les États-Unis peuvent régresser et reculer sur les droits humains des femmes et des filles, nous nous tournons maintenant vers d'autres pays, notamment le Bénin et le Kenya, qui ont récemment affirmé leur engagement à protéger et à réaliser les droits des femmes et des filles à accéder à des soins d'avortement sûrs. Ces pays mènent maintenant la charge, et nous, en tant que défenseurs des droits reproductifs dans le monde, devons continuer à travailler sans relâche pour faire de ces droits une réalité, tout en les maintenant et en les développant."  FIN Contacts médias : Mahmoud Garga, Spécialiste Communication stratégique, Relations Médias et Campagnes Digitales, Bureau régional de l'IPPF pour l'Afrique (IPPFARO) - email : [email protected]  - +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne. Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique. Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et You Tube.