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Camilo Jimenez

Centre de Medias

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A selection of stories from across the Federation

Alvaro with YAM Ghana

Ghana

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Ghana: From The Community Level, To The Highest Political Offices, IPPF Director General Advocates For SRHR For All

Accra, February 14, 2024 – The International Planned Parenthood Federation’s (IPPF) Director General, Dr. Alvaro Bermejo, concluded a three-day visit to Ghana this week hosted by IPPF member association Planned Parenthood Association of Ghana (PPAG). High-level meetings with authorities and partners alongside community-level engagements underscored the two organizations’ commitment to expanding access to quality sexual and reproductive healthcare. 
IPPF_Tommy Trenchard_Botswana
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| 26 June 2022

La Cour suprême des États-Unis annule le jugement Roe v. Wade: un coup sans précédent porté à la santé et aux droits des femmes.

  Nairobi - 25 juin 2022 - La décision de la Cour suprême des États-Unis d'annuler la décision historique Roe V Wade sur l'avortement entraînera une interdiction totale ou quasi totale des soins liés à l'avortement dans environ 26 États des États-Unis d'Amérique. Cette décision n'affecte pas seulement les États-Unis car elle aura sans aucun doute un impact négatif dans le monde entier. L'annulation de l'arrêt Roe v. Wade est le plus grand coup porté à la santé et aux droits des femmes dans l'histoire récente des États-Unis. Elle supprime 50 ans d'avortement sûr et légal aux États-Unis et remet la vie de millions de femmes, de jeunes filles et de personnes de sexe divers entre les mains des législateurs des États - dont beaucoup sont des extrémistes conservateurs misogynes et anti-liberté reproductive. En poursuivant cette attaque contre le corps des femmes et en les forçant à mener des grossesses à terme, la plus haute juridiction des États-Unis a touché le fond, privant des millions de personnes de leur autonomie corporelle et de leur liberté - les valeurs mêmes dont les États-Unis sont fiers. Cette décision est également en décalage avec le peuple américain, dont la majorité est favorable à l'accès aux soins en matière d'avortement. "Les retombées de cette décision calculée se répercuteront également dans le monde entier, encourageant d'autres mouvements anti-avortement, misogynes et anti-liberté reproductive. Les juges qui ont fait passer leurs croyances personnelles avant la volonté, les précédents et la loi américaine auront bientôt du sang sur les mains, et nous ne pouvons que déplorer l’impact que ce jugement cruel aura sur des millions de personnes", a déclaré le Dr Alvaro Bermejo, Directeur de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale. "Nous savons, de par notre expérience en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs, que les groupes extrémistes et les législateurs opposés à l'égalité des sexes se battent au quotidien pour contrôler le corps des femmes et des filles. Ces groupes font de la politique avec l'intégrité corporelle des femmes et des filles, en niant les résultats scientifiques et en contestant les preuves bien fondées selon lesquelles l'interdiction de l'avortement n'empêche pas les femmes de choisir cette procédure, mais les oblige seulement à se tourner vers des alternatives potentiellement dangereuses. Ces groupes obligent également les prestataires de soins de santé à choisir entre sauver la vie d'une femme et s'exposer à des poursuites pénales. Il n'y a pas de prévention de l'avortement, il n'y a que l'interdiction d'un avortement sûr", a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice Régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR).  Elle également ajouté : "Alors que les États-Unis peuvent régresser et reculer sur les droits humains des femmes et des filles, nous nous tournons maintenant vers d'autres pays, notamment le Bénin et le Kenya, qui ont récemment affirmé leur engagement à protéger et à réaliser les droits des femmes et des filles à accéder à des soins d'avortement sûrs. Ces pays mènent maintenant la charge, et nous, en tant que défenseurs des droits reproductifs dans le monde, devons continuer à travailler sans relâche pour faire de ces droits une réalité, tout en les maintenant et en les développant."  FIN Contacts médias : Mahmoud Garga, Spécialiste Communication stratégique, Relations Médias et Campagnes Digitales, Bureau régional de l'IPPF pour l'Afrique (IPPFARO) - email : [email protected]  - +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne. Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique. Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et You Tube.

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| 28 March 2024

La Cour suprême des États-Unis annule le jugement Roe v. Wade: un coup sans précédent porté à la santé et aux droits des femmes.

  Nairobi - 25 juin 2022 - La décision de la Cour suprême des États-Unis d'annuler la décision historique Roe V Wade sur l'avortement entraînera une interdiction totale ou quasi totale des soins liés à l'avortement dans environ 26 États des États-Unis d'Amérique. Cette décision n'affecte pas seulement les États-Unis car elle aura sans aucun doute un impact négatif dans le monde entier. L'annulation de l'arrêt Roe v. Wade est le plus grand coup porté à la santé et aux droits des femmes dans l'histoire récente des États-Unis. Elle supprime 50 ans d'avortement sûr et légal aux États-Unis et remet la vie de millions de femmes, de jeunes filles et de personnes de sexe divers entre les mains des législateurs des États - dont beaucoup sont des extrémistes conservateurs misogynes et anti-liberté reproductive. En poursuivant cette attaque contre le corps des femmes et en les forçant à mener des grossesses à terme, la plus haute juridiction des États-Unis a touché le fond, privant des millions de personnes de leur autonomie corporelle et de leur liberté - les valeurs mêmes dont les États-Unis sont fiers. Cette décision est également en décalage avec le peuple américain, dont la majorité est favorable à l'accès aux soins en matière d'avortement. "Les retombées de cette décision calculée se répercuteront également dans le monde entier, encourageant d'autres mouvements anti-avortement, misogynes et anti-liberté reproductive. Les juges qui ont fait passer leurs croyances personnelles avant la volonté, les précédents et la loi américaine auront bientôt du sang sur les mains, et nous ne pouvons que déplorer l’impact que ce jugement cruel aura sur des millions de personnes", a déclaré le Dr Alvaro Bermejo, Directeur de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale. "Nous savons, de par notre expérience en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs, que les groupes extrémistes et les législateurs opposés à l'égalité des sexes se battent au quotidien pour contrôler le corps des femmes et des filles. Ces groupes font de la politique avec l'intégrité corporelle des femmes et des filles, en niant les résultats scientifiques et en contestant les preuves bien fondées selon lesquelles l'interdiction de l'avortement n'empêche pas les femmes de choisir cette procédure, mais les oblige seulement à se tourner vers des alternatives potentiellement dangereuses. Ces groupes obligent également les prestataires de soins de santé à choisir entre sauver la vie d'une femme et s'exposer à des poursuites pénales. Il n'y a pas de prévention de l'avortement, il n'y a que l'interdiction d'un avortement sûr", a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice Régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR).  Elle également ajouté : "Alors que les États-Unis peuvent régresser et reculer sur les droits humains des femmes et des filles, nous nous tournons maintenant vers d'autres pays, notamment le Bénin et le Kenya, qui ont récemment affirmé leur engagement à protéger et à réaliser les droits des femmes et des filles à accéder à des soins d'avortement sûrs. Ces pays mènent maintenant la charge, et nous, en tant que défenseurs des droits reproductifs dans le monde, devons continuer à travailler sans relâche pour faire de ces droits une réalité, tout en les maintenant et en les développant."  FIN Contacts médias : Mahmoud Garga, Spécialiste Communication stratégique, Relations Médias et Campagnes Digitales, Bureau régional de l'IPPF pour l'Afrique (IPPFARO) - email : [email protected]  - +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne. Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique. Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et You Tube.

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| 26 June 2022

La Cour suprême des États-Unis annule le jugement Roe v. Wade: un coup sans précédent porté à la santé et aux droits des femmes.

  Nairobi - 25 juin 2022 - La décision de la Cour suprême des États-Unis d'annuler la décision historique Roe V Wade sur l'avortement entraînera une interdiction totale ou quasi totale des soins liés à l'avortement dans environ 26 États des États-Unis d'Amérique. Cette décision n'affecte pas seulement les États-Unis car elle aura sans aucun doute un impact négatif dans le monde entier. L'annulation de l'arrêt Roe v. Wade est le plus grand coup porté à la santé et aux droits des femmes dans l'histoire récente des États-Unis. Elle supprime 50 ans d'avortement sûr et légal aux États-Unis et remet la vie de millions de femmes, de jeunes filles et de personnes de sexe divers entre les mains des législateurs des États - dont beaucoup sont des extrémistes conservateurs misogynes et anti-liberté reproductive. En poursuivant cette attaque contre le corps des femmes et en les forçant à mener des grossesses à terme, la plus haute juridiction des États-Unis a touché le fond, privant des millions de personnes de leur autonomie corporelle et de leur liberté - les valeurs mêmes dont les États-Unis sont fiers. Cette décision est également en décalage avec le peuple américain, dont la majorité est favorable à l'accès aux soins en matière d'avortement. "Les retombées de cette décision calculée se répercuteront également dans le monde entier, encourageant d'autres mouvements anti-avortement, misogynes et anti-liberté reproductive. Les juges qui ont fait passer leurs croyances personnelles avant la volonté, les précédents et la loi américaine auront bientôt du sang sur les mains, et nous ne pouvons que déplorer l’impact que ce jugement cruel aura sur des millions de personnes", a déclaré le Dr Alvaro Bermejo, Directeur de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale. "Nous savons, de par notre expérience en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs, que les groupes extrémistes et les législateurs opposés à l'égalité des sexes se battent au quotidien pour contrôler le corps des femmes et des filles. Ces groupes font de la politique avec l'intégrité corporelle des femmes et des filles, en niant les résultats scientifiques et en contestant les preuves bien fondées selon lesquelles l'interdiction de l'avortement n'empêche pas les femmes de choisir cette procédure, mais les oblige seulement à se tourner vers des alternatives potentiellement dangereuses. Ces groupes obligent également les prestataires de soins de santé à choisir entre sauver la vie d'une femme et s'exposer à des poursuites pénales. Il n'y a pas de prévention de l'avortement, il n'y a que l'interdiction d'un avortement sûr", a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice Régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR).  Elle également ajouté : "Alors que les États-Unis peuvent régresser et reculer sur les droits humains des femmes et des filles, nous nous tournons maintenant vers d'autres pays, notamment le Bénin et le Kenya, qui ont récemment affirmé leur engagement à protéger et à réaliser les droits des femmes et des filles à accéder à des soins d'avortement sûrs. Ces pays mènent maintenant la charge, et nous, en tant que défenseurs des droits reproductifs dans le monde, devons continuer à travailler sans relâche pour faire de ces droits une réalité, tout en les maintenant et en les développant."  FIN Contacts médias : Mahmoud Garga, Spécialiste Communication stratégique, Relations Médias et Campagnes Digitales, Bureau régional de l'IPPF pour l'Afrique (IPPFARO) - email : [email protected]  - +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne. Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique. Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et You Tube.

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| 28 March 2024

La Cour suprême des États-Unis annule le jugement Roe v. Wade: un coup sans précédent porté à la santé et aux droits des femmes.

  Nairobi - 25 juin 2022 - La décision de la Cour suprême des États-Unis d'annuler la décision historique Roe V Wade sur l'avortement entraînera une interdiction totale ou quasi totale des soins liés à l'avortement dans environ 26 États des États-Unis d'Amérique. Cette décision n'affecte pas seulement les États-Unis car elle aura sans aucun doute un impact négatif dans le monde entier. L'annulation de l'arrêt Roe v. Wade est le plus grand coup porté à la santé et aux droits des femmes dans l'histoire récente des États-Unis. Elle supprime 50 ans d'avortement sûr et légal aux États-Unis et remet la vie de millions de femmes, de jeunes filles et de personnes de sexe divers entre les mains des législateurs des États - dont beaucoup sont des extrémistes conservateurs misogynes et anti-liberté reproductive. En poursuivant cette attaque contre le corps des femmes et en les forçant à mener des grossesses à terme, la plus haute juridiction des États-Unis a touché le fond, privant des millions de personnes de leur autonomie corporelle et de leur liberté - les valeurs mêmes dont les États-Unis sont fiers. Cette décision est également en décalage avec le peuple américain, dont la majorité est favorable à l'accès aux soins en matière d'avortement. "Les retombées de cette décision calculée se répercuteront également dans le monde entier, encourageant d'autres mouvements anti-avortement, misogynes et anti-liberté reproductive. Les juges qui ont fait passer leurs croyances personnelles avant la volonté, les précédents et la loi américaine auront bientôt du sang sur les mains, et nous ne pouvons que déplorer l’impact que ce jugement cruel aura sur des millions de personnes", a déclaré le Dr Alvaro Bermejo, Directeur de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale. "Nous savons, de par notre expérience en matière de santé et de droits sexuels et reproductifs, que les groupes extrémistes et les législateurs opposés à l'égalité des sexes se battent au quotidien pour contrôler le corps des femmes et des filles. Ces groupes font de la politique avec l'intégrité corporelle des femmes et des filles, en niant les résultats scientifiques et en contestant les preuves bien fondées selon lesquelles l'interdiction de l'avortement n'empêche pas les femmes de choisir cette procédure, mais les oblige seulement à se tourner vers des alternatives potentiellement dangereuses. Ces groupes obligent également les prestataires de soins de santé à choisir entre sauver la vie d'une femme et s'exposer à des poursuites pénales. Il n'y a pas de prévention de l'avortement, il n'y a que l'interdiction d'un avortement sûr", a déclaré Marie-Evelyne Petrus-Barry, Directrice Régionale de la Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR).  Elle également ajouté : "Alors que les États-Unis peuvent régresser et reculer sur les droits humains des femmes et des filles, nous nous tournons maintenant vers d'autres pays, notamment le Bénin et le Kenya, qui ont récemment affirmé leur engagement à protéger et à réaliser les droits des femmes et des filles à accéder à des soins d'avortement sûrs. Ces pays mènent maintenant la charge, et nous, en tant que défenseurs des droits reproductifs dans le monde, devons continuer à travailler sans relâche pour faire de ces droits une réalité, tout en les maintenant et en les développant."  FIN Contacts médias : Mahmoud Garga, Spécialiste Communication stratégique, Relations Médias et Campagnes Digitales, Bureau régional de l'IPPF pour l'Afrique (IPPFARO) - email : [email protected]  - +254 704 626 920   A PROPOS DE LA RÉGION AFRIQUE DE L'IPPF (IPPFAR) La Fédération Internationale pour la Planification Familiale, région Afrique (IPPFAR) est l'une des principales organisations de prestation de services de santé sexuelle et reproductive (SSR) en Afrique, et l'une des principales voix de défense de la santé et des droits sexuels et reproductifs dans la région. Basée à Nairobi, au Kenya, l'objectif principal de l'IPPFAR est d'améliorer l'accès aux services de santé sexuelle et reproductive pour les jeunes, les hommes et les femmes les plus vulnérables d'Afrique subsaharienne. Soutenu par des milliers de bénévoles, IPPFAR s'attaque aux défis croissants du continent en matière de droits à la santé sexuelle et reproductive par le biais d'un réseau d'associations membres (AM) dans 40 pays. Pour ce faire, nous faisons de nos AM des entités capables de fournir et de maintenir des services de haute qualité, axés sur les jeunes et les populations les plus vulnérables. Nous travaillons avec les gouvernements, l'Union africaine, les commissions économiques régionales, le Parlement panafricain, les organes des Nations Unies, entre autres, pour élargir les engagements politiques et financiers en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs en Afrique. Visitez notre site web. Suivez-nous sur Facebook, Twitter, Instagram et You Tube.